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Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès des Etats-Unis

Notre commentaire:

La troisième Guerre mondiale est dans une telle hypothèse assurée comme pour la 1ère Guerre mondiale, avec l’assassinat de l’Archiduc d’Autriche François-Ferdinand en 1914. A ce moment-là, tous le bal des assassinats politiques serait ouvert à tous. Les assassinats sont-ils le couronnement royal de la « démocratie » et le meilleur moyen pour la défense des droits de l’Homme aux États-Unis? »

MIRASTNEWS

Washington semble n’avoir jamais abandonné l’idée d’une méthode radicale pour le règlement du conflit syrien.

Le participant d’un briefing à huis clos, organisé par le Council on Foreign Relations (CFR) américain, a proposé de régler le conflit en Syrie en tuant le président syrien Bachar el-Assad, a déclaré une source, qui a également participé à la rencontre.

« Et si l’on recourait au meurtre d’el-Assad ? », a demandé ce participant, cité par le magazine américain Foreign Policy, à Philip Gordon, ex-responsable du Proche-Orient au sein de la Maison Blanche.

Selon l’édition, la question a laissé perplexe les autres participants et a été rapidement rejetée par M. Gordon.

« C’est illégal et cela ne changerait rien de toute façon. Cela s’avère d’ailleurs peu nuisible aux intérêts de la Russie en Syrie et à ceux de l’Iran notamment », a expliqué Philip Gordon.

Conformément à la loi de 1976, un fonctionnaire de l’État américain ne peut pas être impliqué dans un meurtre politique ou dans ses préparatifs.

« Même si el-Assad mourrait ou était tué pour une cause ou une autre, l’enjeu du conflit, qui est le régime syrien soutenu par la Russie contre l’opposition locale, ne changera pas », a répété pour sa part une source de l’édition à la Chambre des représentants.

Quoi qu’il en soit, il est certain que la recherche de solutions agressives pour le règlement du conflit syrien est de plus en plus prisée à Washington.

Image : Sputnik | AFP | Sputnik

Source : Sputniknews

Clinton à propos d’Assange: «Pourquoi ne pas l’éliminer avec un drone?»

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© REUTERS/ Dave Kau

L’avocate de Julian Assange Melinda Taylor estime que si la candidate démocrate à la présidence des États-Unis Hillary Clinton remporte l’élection, la menace à la sécurité de son client augmentera considérablement.

Auparavant l’édition True Pundit, citant des sources dans le département d’État américain, a décrit la situation qui aurait eu lieu en 2010 lors d’une des réunions visant les tentatives d’arrêter les publications de WikiLeaks. Lorsqu’elle occupait le poste de secrétaire d’État américain, Hillary Clinton aurait alors demandé à l’auditoire : « Ne peut-on pas simplement éliminer ce mec (Assange, ndlr.) avec un drone ? »

Pourtant Mme Clinton a nié plus tard avoir proposé d’éliminer le fondateur de WikiLeaks Julian Assange.

« Évidemment, le risque pour la sécurité de mon client augmentera considérablement si Hillary Clinton devient présidente… Il est très inquiétant d’entendre dire que quelqu’un veut tuer une personne avec un drone, même sur le ton de la plaisanterie. Cela équivaudrait à une exécution extrajudiciaire, ce qui, hors de tout doute, est illégal. Et le fait que l’ancienne secrétaire d’État américaine ait fait une telle proposition souligne seulement que le risque pour la vie de M. Assange augmente », a indiqué Melinda Taylor.

En outre, l’avocate estime qu’« il y a un danger que la récente publication puisse influencer le procès » contre Assange, en référence à la récente publication des courriels du directeur de campagne de la candidate démocrate américaine Hillary Clinton.

Le site WikiLeaks a promis de dévoiler 50 000 courriels avant l’élection présidentielle du 8 novembre 2016. À l’heure actuelle, la moitié des courriels sont déjà affichés sur le site de l’organisation.

Le premier lot de courriels publiés par WikiLeaks est consultable pour l’adresse e-mail [email protected], un compte que Barack Obama aurait utilisé avant de remporter l’élection présidentielle en novembre 2008. Ces courriels comprennent, entre autres, un email, daté du 30 octobre 2008, de John Podesta, directeur de campagne d’Hillary Clinton, à Obama à l’époque sénateur, avec une pièce jointe confidentielle.

Source : Sputniknews

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