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Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l’exclusion de la Russie du Conseil des droits de l’homme + Notre commentaire

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Nations unies : des ONG fantoches ? Pourquoi n’appellent-elles pas à l’exclusion du Conseil des droits de l’homme (CDH), de ceux plutôt qui réellement massacrent les populations civiles au Yémen, en Irak ou en Syrie avec la même virulence ?

Des dizaines d’organisations non gouvernementales appellent les Nations unies à priver la Russie de son siège au Conseil des droits de l’homme de cette organisation internationale, en raison des actions de la Russie contre Daesh en Syrie. Sont-elles vraiment sérieuses ? Pourquoi ne réclament-elles pas la mise au ban de ceux connus de tous qui massacrent réellement les civils en Syrie, en Irak, au Yémen ou ailleurs ?

Ces ONG n’ont même pas encore depuis 2011 demandé avec la plus grande fermeté à l’ONU de prendre des mesures similaires, sinon plus fortes et dissuasives pour l’avenir contre les djihadistes massacreurs de civils en Syrie ou ailleurs, et hors-la-loi.

Ces organisations profitent du fait que dans les prochains jours des élections vont se dérouler pour renouveler des membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. La Russie, la Hongrie et la Croatie vont se battre pour avoir le droit de représenter dans cette institution l’Europe de l’Est. Elles doivent en réalité reprocher à la Russie d’avoir renvoyé les agents étrangers crapuleux chez eux. Car au lieu de faire du vrai travail humanitaire, ces «ONG» passaient leur temps à fomenter dans l’ombre des coups bas politiques dans plusieurs pays hôtes, sous couvert de l’humanitaire.

En réalité, la Russie est l’une des seules puissances à être aimées par la majorité des civils en Syrie pour la précision de son travail. Elle ne vise pas les civils contrairement à la fausse propagande, ni les ponts, ni les activités économiques ou autres infrastructures permettant à la vie sociétale de se dérouler correctement. Ceux qui détruisent les ponts ou autres infrastructures de la Syrie, nient les droits des populations civiles d’être dans de meilleures conditions pour vivre. Ceux qui ciblent volontairement les lieux d’habitation ou de rassemblements de civils sont des véritables criminels, que ces « ONG » ne veulent pas dénoncer fermement et publiquement.

Que ces ONG présentent alors leurs « preuves ». Il semble plutôt apparaître que leur action est de couvrir les méfaits des terroristes qui prennent les civils en otage et les empêchent d’emprunter les corridors prévus pour leur évacuation, en leur tirant dessus. Face à des actions criminelles, il revient à l’armée arabe syrienne, à la Russie ainsi qu’à leurs alliés de stopper ses actions néfastes comme le ferait n’importe quelle autorité responsable dans n’importe quel pays.

 Les activités militaires de la Russie et la Syrie sont là pour cibler les terroristes et non les civils et les objectifs civils. Ceux qui détruisent les ponts et autres sont connus et couverts par ces soi-disant organisations non gouvernementales. Car elles n’ont jamais haussé le ton de la même manière lorsque d’autres parties tuent massivement des civils dans des cérémonies.

Jean de Dieu MOSSINGUE

MIRASTNEWS

Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l’exclusion de la Russie du Conseil des droits de l’homme

Des dizaines d’organisations non gouvernementales ont exhorté les Nations unies à priver la Russie de son siège au Conseil des droits de l’homme de l’organisation internationale, mettant en cause les actions de la Russie contre Daesh en Syrie.

A quelques jours des élections qui permettront de renouveler 14 des 47 membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, des dizaines d’organisations non gouvernementales (ONG) ont exhorté les pays membres de l’Organisation des Nations unies (ONU) à en exclure la Russie, rapporte l’agence AFP.

Les ONG signataires exhortent les membres à «considérer si le rôle de la Russie en Syrie, qui consiste en particulier à soutenir et entreprendre des activités militaires qui ont ciblé systématiquement des civils et des objectifs civils, l’autorise à siéger à la principale instance intergouvernementale de l’ONU chargée des droits de l’homme».

Le Conseil des droits de l’homme, institution controversée

Mais après un rapport de 2005 des Nations unies elles-mêmes, qui établissait que «des Etats ont cherché à se faire élire à la Commission non pas pour défendre les droits de l’Homme mais pour se soustraire aux critiques ou pour critiquer les autres», le Conseil des droits de l’homme continue de poser question. En septembre 2015, WikiLeaks avait par exemple révélé que le Royaume-Uni et l’Arabie saoudite s’étaient entendus pour s’attribuer des sièges au sein de l’organe de l’organisation internationale.

Ce qui a valu à l’Arabie saoudite, sa désignation très controversée à la tête du groupe consultatif du Conseil des droits de l’homme. En plus de pratiquer des exécutions par décapitation et du statut discutable réservé aux femmes et aux minorités sexuelles dans le pays, l’Arabie saoudite est fortement soupçonnée d’apporter son aide à Daesh et de commettre des crimes de guerre au Yemen, où elle dirige une coalition régionale dont les frappes font de nombreuses victimes civiles.

En savoir plus : L’Arabie saoudite coule l’enquête de l’ONU sur les crimes de guerre au Yémen, Washington reste muet

Le 30 septembre 2015, à l’appel du gouvernement de Bachar el-Assad et conformément au droit international, la Russie est intervenue auprès de l’armée régulière syrienne pour combattre les groupes terroristes, prenant pour cibles les positions militaires des organisations terroristes comme Daesh et le Front Al-Nosra, rebaptisé Front Fatah al-Cham depuis qu’il a rompu avec Al-Qaïda.

L’appel des ONG coïncide avec l’introduction. il y a une semaine, auprès du Conseil des droits de l’homme par le Royaume-Uni d’une résolution portant sur des allégations de violations des droits de l’homme en Syrie. Le Conseil y a répondu favorablement et voté pour l’ouverture d’une enquête, suscitant la colère de Moscou. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié ces accusations de «cyniques» et de «déshonorantes».

Image ©Denis Balibouse/Reuters

Source: RT France

Vidéo: Le Président Assad à SRF1 suisse:

« .. Alep a été en état de siège sur les quatre dernières années par les terroristes, et nous n’avons pas entendu une question posée par les journalistes occidentaux au sujet de ce qui se passe à Alep à ce moment-là, et on n’a pas entendu une seule déclaration par les responsables occidentaux concernant les enfants d’Alep. Maintenant, ils parlent d’Alep récemment juste parce que les terroristes sont en mauvais état. Ceci est la seule raison, parce que l’armée syrienne et ses alliés font des progrès, et les pays occidentaux – principalement les États-Unis et leurs alliés comme le Royaume-Uni et la France – ont le sentiment qu’ils perdent leurs dernières cartes du terrorisme en Syrie, et le bastion principal de ce le terrorisme est aujourd’hui Alep. « 

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