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Les Etats-Unis d’Amérique font état de plus de 2000 décès dus au COVID-19 – Johns Hopkins University

Des personnes sont vues près du Washington Monument à Washington DC, aux États-Unis d’Amérique, le 28 mars 2020. Les États-Unis d’Amérique ont signalé plus de 2 000 décès dus au COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering de l’Université Johns Hopkins (CSSE). À partir de 18 h 40 samedi (2240 ​​GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis d’Amérique, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

WASHINGTON, 28 mars – Les États-Unis d’Amérique ont signalé plus de 2 000 décès dus à COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering (CSSE) de l’Université Johns Hopkins.

À partir de 18 h 40 samedi (2240 ​​GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis d’Amérique, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE.

Selon la mise à jour, les cas de l’État de New York ont ​​dépassé 52 000, suivis des États du New Jersey et de la Californie, avec 11 124 et 5 065 cas respectivement.

Alors que les cas de COVID-19 continuaient d’augmenter, le président des Etats-Unis d’Amérique Donald Trump a lancé samedi l’idée de mettre en place une « quarantaine exécutoire » sur les voyages dans certaines des zones les plus durement touchées.

« Certaines personnes aimeraient voir New York en quarantaine parce que c’est un point chaud – New York, New Jersey, peut-être un ou deux autres endroits, certaines parties du Connecticut en quarantaine. J’y pense en ce moment », a déclaré Trump aux journalistes à la Maison Blanche.

Donald J. Trump

@realDonaldTrump

On the recommendation of the White House CoronaVirus Task Force, and upon consultation with the Governor’s of New York, New Jersey and Connecticut, I have asked the @CDCgov to issue a strong Travel Advisory, to be administered by the Governors, in consultation with the….

Donald J. Trump

@realDonaldTrump

….Federal Government. A quarantine will not be necessary. Full details will be released by CDC tonight. Thank you!

« Nous ne serons peut-être pas obligés de le faire, mais il est possible qu’aujourd’hui nous fassions une quarantaine – à court terme », a-t-il ajouté.

Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, dans une interview accordée à CNN samedi, a déclaré qu’il ne pensait pas qu’une éventuelle mise en quarantaine de New York soit légale et qu’il s’agirait d’une « déclaration de guerre fédérale ».

« Ce serait le chaos et le chaos », a déclaré Cuomo, qui a ordonné aux résidents de New York de rester chez eux autant que possible. « C’est totalement opposé à tout ce qu’il a dit. Je ne pense pas que ce soit plausible. Je ne pense pas que ce soit légal. »

À l’échelle mondiale, le nombre de cas de COVID-19 a dépassé 650 000, avec plus de 30 000 décès, tandis que près de 140 000 personnes se sont remises de la maladie, selon le dernier décompte de samedi.

Les gens visitent le Lincoln Memorial à Washington DC, aux États-Unis d’Amérique, le 28 mars 2020. Les États-Unis d’Amérique ont signalé plus de 2 000 décès liés au COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering (CSSE) de l’Université Johns Hopkins. . À partir de 18 h 40 samedi (2240 GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis d’Amérique, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

Des personnes sont vues près du Washington Monument à Washington DC, aux États-Unis d’Amérique, le 28 mars 2020. Les États-Unis d’Amérique ont signalé plus de 2 000 décès dus au COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering de l’Université Johns Hopkins ( CSSE). À partir de 18 h 40 samedi (2240 GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis d’Amérique, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

Des personnes sont vues au Lincoln Memorial de Washington DC, aux États-Unis d’Amérique, le 28 mars 2020. Les États-Unis d’Amérique ont signalé plus de 2 000 décès dus à COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering de l’Université Johns Hopkins ( CSSE). À partir de 18 h 40 samedi (2240 GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis d’Amérique, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

Des personnes sont vues au Lincoln Memorial de Washington DC, aux États-Unis, le 28 mars 2020. Les États-Unis ont signalé plus de 2 000 décès dus à COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering de l’Université Johns Hopkins ( CSSE). À partir de 18 h 40 samedi (2240 GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

Des gens sont vus près du Lincoln Memorial à Washington DC, aux États-Unis, le 28 mars 2020. Les États-Unis ont signalé plus de 2 000 décès dus au COVID-19, selon le dernier décompte du Center for Systems Science and Engineering de l’Université Johns Hopkins ( CSSE). À partir de 18 h 40 samedi (2240 GMT), il y avait plus de 121 000 cas confirmés aux États-Unis, avec 2 010 décès, a montré une carte interactive maintenue par la CSSE. (Photo de Ting Shen / Xinhua)

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Xinhua

E-Press du 28 mars 2020

 

Au sommaire :

1-Porteur Zéro du COVID-19 : la piste militaire US

Des informations non confirmées évoquent pour la première fois le porteur zéro de la pandémie COVID-19 causé par le coronavirus SRAS-nCoV-2.

Selon des sources proches du renseignement militaire chinois, il s’agirait d’une Américaine travaillant pour le renseignement et d’un officier militaire US travaillant actuellement dans l’US Space Force, ou Forces spatiales des États-Unis, la nouvelle et sixième branche des forces armées américaines, créée le 20 décembre 2019 et dont le quartier général est provisoirement situé sur la base militaire aérienne de Peterson (Peterson Air force Base).

Concernant le premier suspect, c’est une femme d’origine hollandaise, née en 1969, et serait selon les mêmes sources, le patient Zéro du SRAS-nCoV-2 apparu à Wuhan entre le 18 et le 28 octobre 2019. Elle aurait guéri et fait l’objet d’une protection fédérale. La plupart de ses profils sur le Net ainsi que ses traces électroniques sont soit supprimés, soit restreints. Toute référence à cette personne comme étant le premier vecteur du COVID-19 apparu dans un marché de la ville de Wuhan est systématiquement censurée sur les réseaux sociaux.

Le second suspect serait un commandant qui aurait intégré après les jeux de Wuhan la Force spatiale des États-Unis, ou l’US Space Force. On ne dispose d’aucune information à son sujet ni s’il serait encore en vie. Certaines thèses supputent sans apporter la moindre preuve que cet officier aurait été contaminé accidentellement soit lors d’un incident ou dans une opération de transport de matériel biologique hasardeux issu d’un laboratoire de recherche sur les armes biologiques destinées à l’Afghanistan. On est ici dans le domaine du conspirationnisme et aucun fait n’étaye ces affirmations. Ce qui est certain est que l’Afghanistan est une terre d’essais traditionnelle de vecteurs biologiques visant à affaiblir ses populations par des virus saisonniers modifiés à létalité réduite, mais fortement handicapante. Les forces US ont déjà disséminé de nouvelles souches virales responsables de la rougeole et les talibans ont toujours accusé Washington de leur faire subir une guerre biologique. Cela expliquait pourquoi les équipes de vaccination contre la Polio, parfois protégées par des convois blindés et aéroportés, étaient et sont toujours des cibles prioritaires de la guérilla talibane.

Il existe une suite à cette thèse impliquant un usage du gaz Sarin pour brouiller les pistes ou pour continuer une stratégie par de nouveaux moyens. L’existence de ces thèses explique pourquoi les médias occidentaux mènent une campagne battante contre la Chine même au plus fort de la crise générée par le COVID-19 sur son territoire.

Source : Strategika 51

2-L’Allemagne se prépare à des frappes nucléaires ?

Comme maintenir en service ses chasseurs-bombardiers Tornado ne sera plus soutenable financièrement en 2030 en raison d’une hausse exponentielle des coûts de maintien en condition opérationnelle [il est question de 9 milliards d’euros], la Luftwaffe [force aérienne allemande] souhaite les remplacer au plus tôt.

Seulement, dans le cadre de l’OTAN, l’Allemagne abrite au moins une vingtaine de bombes nucléaires tactiques B-61, mises à la disposition de l’Alliance par les États-Unis. Et donc, elle doit disposer d’avions capables de les mettre en œuvre. Ce qui est le cas des Tornado. En outre, il revient également à la Luftwaffe d’être en mesure d’effectuer des missions de guerre électronique visant à supprimer les défenses aériennes ennemies [missions SEAD]. Et, actuellement, elle dispose de Tornado ECR pour cela.

Le souci est que certifier le Typhoon [ou EF-2000] pour des missions nucléaires prendrait trop de temps. Ce qui ne serait pas le cas pour le F/A-18 Super Hornet. Les B-61 étant américaines, il est donc naturel que les avions américains soient privilégiés…

Source : Opex 360

3- France : vers une dictature militaire ?

Le 16 mars, le président Macron avait annoncé que les armées seraient mobilisées pour faire face à l’épidémie de Covid-19. Sans attendre, l’armée de l’Air a évacué plusieurs patients hospitalisés en Alsace vers des établissements situés dans des régions peu [ou en tout cas moins] touchées. La Marine nationale a sollicité le porte-hélicoptères amphibie [PHA] Tonnerre pour en faire de même en Corse. Enfin, le Régiment médical de l’armée de Terre a été mobilisé pour déployer un hôpital de campagne à Mulhouse, en coopération avec le Service de Santé des Armées

Sur les ondes de RTL, le 26 mars, Mme Parly a indiqué que l’opération Résilience allait mobiliser dans un premier temps « quelques centaines de militaires ». Et au fur et à mesure des demandes, « nous allons monter en puissance » et engager « certainement plusieurs milliers » de personnels, a-t-elle ajouté. « Il est difficile de donner un chiffre tout simplement parce que nous allons nous efforcer de nous adapter du mieux possible aux demandes exprimées par les préfets », a-t-elle conclu.

Où trouver des effectifs ? Les armées feront-elles comme la Gendarmerie nationale, qui a envoyé sur le terrain les élèves de ses écoles ?

Source : Opex 360

Press TV

A la recherche du Porteur Zéro du COVID-19: la piste militaire US

Des informations non confirmées évoquent pour la première fois le porteur zéro de la pandémie COVID-19 causé par le coronavirus SRAS-nCoV-2.

Selon des sources proches du renseignement militaire chinois , il s’agirait d’une américaine travaillant pour le renseignement et d’un officier militaire US travaillant actuellement dans l’US Space Force, ou Forces spatiales des Etats-Unis, la nouvelle et sixième branche des forces armées américaines, créée le 20 décembre 2019 et dont le quartier général est provisoirement situé sur la base militaire aérienne de Peterson (Peterson Air force Base).

Concernant le premier suspect, c’est une femme d’origine hollandaise, née en 1969, et serait selon les mêmes sources, le patient Zéro du SRAS-nCoV-2 apparu à Wuhan entre le 18 et le 28 octobre 2019. Elle aurait guéri et fait l’objet d’une protection fédérale. La plupart de ses profils sur le Net ainsi que ses traces électroniques sont soit supprimés, soit restreints. Toute référence à cette personne comme étant le premier vecteur du COVID-19 apparu dans un marché de la ville de Wuhan est systématiquement censurée sur les réseaux sociaux. Mais qui est réellement Maati Benassi et quel est le niveau de crédibilité des informations circulant à son sujet?

De prime abord, cette cycliste chevronnée et confirmée, travaillerait dans un service de soutien (technique) relevant d’une des pléthoriques agences de la grande communauté du renseignement US. Elle aurait travaillé comme conductrice pour le personnel diplomatique et de ce fait ne pouvait être éligible à une quelconque couverture diplomatique. Elle a été détachée à différentes reprises auprès des branches des forces armées US mais on arrive pas à déterminer avec certitude comment a t-elle pu intégrer la délégation militaire US qui a participé aux Jeux militaires mondiaux de Wuhan en octobre 2019.

La 7éme édition des jeux militaires internationaux de Wuhan, connus sous l’acronyme CISM ou Wuhan 2019 se sont déroulé du 18 au 27 octobre 2019 à Wuhan, dans le Hebei, République populaire de Chine.

Ces jeux ont réuni 9 308 athlètes de 140 pays. La délégation militaire sportive US comptait plus de 280 athlètes et un staff assez nombreux. Les jeux se sont déroulés dans de bonnes conditions mais des dizaines d’incidents furent signalés entre les équipes et plus spécialement entre des participants américains et chinois. En une occasion des militaires US auraient craché à l’intérieur d’un moyen de transport urbain au milieu d’un incident et en une autre occasion une bagarre avait failli éclater entre des américains et des participants de deux autres pays classés sur la liste noire du Département d’Etat US.

Cette thèse précise que des participants US à la 7ème édition, incluant Maati Benassi et un autre militaire relevant de l’US Army seraient les premières personnes à avoir propagé de manière non délibérée le SRAS-nCoV-2 à Wuhan. le patient zéro chinois est une vendeuse de crevettes au marché de Wuhan qui a été identifié par la Sécurité d’Etat chinoise. Elle est morte des suites du COVID-19. C’est cette version qui a servi de base argumentaire à l’accusation portée publiquement par par un haut fonctionnaire du Ministère chinois des Affaires étrangères à l’encontre des Etats-Unis.

Le second suspect serait un commandant qui aurait intégré après les jeux de Wuhan la Force spatiale des Etats-Unis, ou l’US Space Force. On ne dispose d’aucune information à son sujet ni s’il serait encore en vie. Certaines thèses supputent sans apporter la moindre preuve que cet officier aurait été contaminé accidentellement soit lors d’un incident ou dans une opération de transport de matériel biologique hasardeux issu d’un laboratoire de recherche sur les armes biologiques destinées à l’Afghanistan. On est ici dans le domaine du conspirationnisme et aucun fait n’étaye ces affirmations. Ce qui est certain est que l’Afghanistan est une terre d’essais traditionnelle de vecteurs biologiques visant à affaiblir ses populations par des virus saisonniers modifiées à létalité réduite mais fortement handicapante. Les forces US ont déjà disséminé de nouvelles souches virales responsable de la rougeole et les Talibans ont toujours accusé Washington de leur faire subir une guerre biologique. Cela expliquait pourquoi les équipes de vaccination contre la Polio, parfois protégées par des convois blindés et aéroportés, étaient et sont toujours des cibles prioritaires de la guérilla Talibane.

Il existe une suite à cette thèse impliquant un usage du gaz Sarin pour brouiller les pistes ou pour continuer une stratégie par de nouveaux moyens. L’existence de ces thèses expliquent pourquoi les médias occidentaux mènent une campagne battante contre la Chine même au plus fort de la crise générée par le COVID-19 sur son territoire.

Source: Strategika 51

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