Vaccin Covid-19: Un deuxième volontaire d’AstraZeneca souffrirait d’une maladie neurologique rare
Le diable fabrique les pots mais pas le couvercle. Alors que la théorie de l’organisme génétiquement modifié construit en laboratoire se concrétise de plus en plus sur l’origine du virus SRAS-2, voici le deuxième accroc pour l’une des entreprises leader dans la production de vaccins, l’AstraZeneca propriété Anglo-suédoise mais en fait contrôlée par les mêmes actionnaires américains et sionistes du Lobby des armes (Weapons Lobby) (comme démontré dans les enquêtes précédentes).

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Big Pharma tombe sur un deuxième cas de réaction indésirable en quelques jours qui, cependant, prétend ne pas être lié au vaccin Covid-19 testé. Alors qu’un virologue de Hong Kong confirme que cette nouvelle souche de Coronavirus était d’origine humaine, dans le cadre de ces recherches «à double usage» pour les vaccins mais aussi les armes biologiques militaires, comme le prétend un prix Nobel de médecine, un ancien directeur du contre- du renseignement MI6 et d’un bio-ingénieur consultant de l’OTAN, voici un autre incident pour la multinationale déjà connue pour des cas de dopage, de suicide et autres violations graves des lois sur les médicaments.
Le problème se profile pour l’Europe qui a déjà réservé 400 millions de doses du vaccin de l’Université d’Oxford, développé par le Jenner Institute, dont AstraZeneca a acquis la distribution mais a ensuite bloqué les essais cliniques après une première infection très grave de la moelle épinière (qui pourrait provoquer une paralysie chez le cobaye. humain) auquel s’ajoute un deuxième cas dramatique…
De Russia Today
Deux personnes sont tombées malades lors des essais du vaccin contre le coronavirus d’AstraZeneca au Royaume-Uni, ont révélé les documents internes de la société, et une source a déclaré qu’ils avaient tous deux souffert du même trouble neurologique grave.
La société a publié samedi les détails des essais, après avoir été critiquée pour le manque de transparence entourant les tests du vaccin très attendu contre le virus, qui a jusqu’à présent infecté plus de 30,8 millions de personnes et causé plus de 958 000 décès dans le monde.
Le premier participant aux essais britanniques – qui sont menés en collaboration avec l’Université d’Oxford – est tombé malade après avoir reçu une dose du vaccin expérimental en juillet.
La femme volontaire a plus tard été diagnostiquée avec une myélite transverse, une maladie inflammatoire rare qui affecte la moelle épinière, provoquant une faiblesse, des altérations sensorielles et un dysfonctionnement du système nerveux autonome. La porte-parole de l’entreprise a par la suite déclaré aux médias que le volontaire n’avait pas été diagnostiqué de sclérose en plaques et les essais ont repris.
La deuxième femme recevant le vaccin a souffert de complications après la dose de suivi en septembre. AstraZeneca n’a pas confirmé son diagnostic, mais une source a déclaré au New York Times qu’il s’agissait également d’une myélite transverse.
Le 6 septembre, les essais du médicament ont de nouveau été suspendus, après que la deuxième femme se soit sentie malade, mais ils ont repris en Grande-Bretagne, au Brésil, en Inde et en Afrique du Sud moins d’une semaine plus tard. Cependant, les États-Unis d’Amérique n’ont pas encore donné leur feu vert à la poursuite du test.
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AstraZeneca, qui a administré son vaccin à quelque 18 000 personnes dans le monde, a déclaré dans des documents internes que les deux cas de la maladie étaient «peu susceptibles d’être associés au vaccin, ou il n’y avait pas suffisamment de preuves pour dire avec certitude que les maladies étaient ou non liées au vaccin.»
La myélite transversale est une maladie grave et rare, et ses cas répétés parmi les participants aux essais pourraient bien voir AstraZeneca perdre son offre de vaccin dans son ensemble.
Le vaccin d’AstraZeneca utilise un adénovirus de singe qui partage un gène avec le coronavirus [COVI-19 de la maladie – MIRASTNEWS] Covid-19. C’est une méthode non testée de développement de vaccins, selon Kirill Dmitriev, PDG du Fonds d’investissement direct russe qui a financé le développement du vaccin russe.
Contrairement au jab d’AstraZeneca, Sputnik V de Russie, le premier vaccin enregistré au monde, utilise les adénovirus humains comme vecteur – une approche largement étudiée.
Plus tôt ce mois-ci, la revue médicale britannique respectée The Lancet a publié l’étude Sputnik V du ministère russe de la Santé, montrant que le vaccin est efficace à 100%, produisant des anticorps chez les 76 participants aux essais préliminaires.
[Pour nous le coronavirus 2019 a pour abréviation COVI-19 et la maladie engendrée est la COVID-19 (Coronavirus Desease 2019 en anglais). – MIRASTNEWS]
Fabio Giuseppe Carlo Carisio
Traduction : MIRASTNEWS
Source : Natural News
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