Des dizaines de militaires américains, morts, blessés après des attaques coordonnées à l’aéroport de Kaboul ; des appels retentissent pour que Biden et Harris démissionnent + Médecin militaire : « Le programme de vaccination contre le COVID a tué plus de jeunes en service actif que le COVID »
Des dizaines de militaires américains, morts, blessés après des attaques coordonnées à l’aéroport de Kaboul ; des appels retentissent pour que Biden et Harris démissionnent

Plus d’une douzaine de militaires américains ont été tués et des dizaines d’autres blessés dans des attaques bien coordonnées contre leurs positions à l’aéroport international Hamid Karzai de Kaboul, en Afghanistan, jeudi, amenant de nombreux législateurs républicains à appeler Joe Biden et Kamala Harris à démissionner ou être destitué et démis de leurs fonctions.
Les attaques ont commencé par une paire d’attentats suicides contre une porte occupée par des Marines américains et des membres de l’armée américaine à l’approche de la soirée dans ce pays d’Asie du Sud-Ouest, mais des explosions ont continué de secouer l’aéroport dans les heures qui ont suivi, selon plusieurs rapports.
« Melania et moi adressons nos plus sincères condoléances aux familles de nos brillants militaires dont le devoir envers les États-Unis comptait beaucoup pour eux », a déclaré l’ancien président Donald Trump dans un communiqué. « Nos pensées vont également aux familles des civils innocents qui sont morts aujourd’hui dans l’attaque sauvage de Kaboul. »
« Cette tragédie n’aurait jamais dû se produire, ce qui rend notre chagrin encore plus profond et plus difficile à comprendre », a poursuivi Trump. « Que Dieu bénisse les États-Unis. »
Fox News a fait état du nombre de victimes en milieu d’après-midi jeudi, citant des hauts responsables militaires américains :
Le chef des forces américaines au Moyen-Orient et en Afghanistan a déclaré que 12 militaires américains avaient été tués dans l’attentat suicide à l’extérieur de l’aéroport de Kaboul. 15 autres ont été blessés.
Le général de marine Kenneth McKenzie, chef du Commandement central des États-Unis, a déclaré que deux kamikazes avaient mené l’attaque complexe, qu’il a attribuée à l’Etat islamique.
McKenzie a déclaré que des hommes armés de l’Etat islamique avaient également ouvert le feu.
McKenzie a confirmé les militaires américains en disant: « C’est une dure journée aujourd’hui. »
Les attaques ont été lancées contre des masses de personnes rassemblées à l’aéroport pour tenter d’obtenir des vols alors que les responsables et les combattants talibans resserrent leur emprise sur le pays et que la date limite de retrait du 31 août pour les États-Unis et l’OTAN approche rapidement.
En fin d’après-midi jeudi, selon CNN, des responsables ont déclaré qu’au moins 60 personnes avaient été tuées et 140 blessées. Environ 1 000 Américains, dont la plupart disent vouloir partir, restent dans le pays, ont déclaré des responsables américains.
« À ce jour, nous avons 5 000 évacués sur la rampe en attente d’un pont aérien. Depuis le 14 août, nous avons évacué plus de 104 000 civils, plus de 66 000 par les États-Unis et plus de 37 000 par nos alliés et partenaires. … Comme le secrétaire d’État l’a dit hier, nous pensons qu’il reste un peu plus de 1 000 Américains en Afghanistan à ce stade », a déclaré McKenzie aux journalistes lors d’un briefing du Pentagone.
Et bien que « la menace de l’Etat islamique soit extrêmement réelle », l’évacuation se poursuivra, a déclaré McKenzie.
Il a ajouté qu’en dépit des attaques, les troupes américaines restaient engagées pour amener les évacués à l’aéroport.
« Nous continuons à amener les gens sur l’aérodrome. Nous venons d’amener un certain nombre d’autobus à bord de l’aérodrome au cours des deux ou trois dernières heures. Nous continuerons à traiter et à faire sortir les gens. Le plan est conçu pour fonctionner sous le stress et sous l’attaque. Et nous nous coordonnerons pour nous assurer que les citoyens américains peuvent se rendre sur l’aérodrome en toute sécurité. Si ce n’est pas le cas, nous leur dirons de se retenir et de trouver d’autres moyens de les amener à l’aéroport. Nous continuerons à les distribuer jusqu’à la fin du mois », a-t-il déclaré.
« Je vais vous dire ceci : chaque fois que vous élaborez un plan d’évacuation des non-combattants comme celui-ci et que vous amenez des forces, vous vous attendez à être attaqué. Nous pensions que cela arriverait tôt ou tard », a déclaré McKenzie plus tôt.
« C’est tragique ce qui s’est passé aujourd’hui. C’est tragique qu’il y ait autant de morts. Nous sommes prêts à continuer la mission. … Je pense que nous pouvons continuer à mener notre mission même pendant que nous recevons des attaques comme celle-ci », a-t-il ajouté.
Plusieurs républicains ont appelé Biden et Harris à se retirer.
« Est-ce que Biden devrait démissionner ou être démis de ses fonctions pour sa gestion de l’Afghanistan ? Oui », a tweeté l’ancienne ambassadrice de l’ONU Nikki Haley. « Mais cela nous laisserait avec Kamala Harris, ce qui serait dix fois pire. Que Dieu nous aide. »
« Joe Biden, Kamala Harris, Antony Blinken, Lloyd Austin et le général Milley devraient tous démissionner ou faire face à la mise en accusation et à la destitution », a ajouté la sénatrice Marsha Blackburn du Tennessee.
« Si le président Trump peut être destitué par un appel téléphonique, le moment est venu d’IMPEACH Biden pour négligence grave en Afghanistan. Les Américains méritent mieux. Nous méritons mieux que quelqu’un qui IGNORE volontairement la PIRE crise depuis des décennies », a écrit le représentant Ronnie Jackson du Texas, ancien médecin de la Maison Blanche.
Les sources comprennent :
JD Heyes
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Traduction : MIRASTNEWS
Source : Natural News
Taliban – Transport de centaines d’armes américaines volées 22-Aug-2021
Cette vidéo a été partagée le 22/08/2021. Ce qui soutient les affirmations selon lesquelles les talibans possèdent maintenant des milliards de dollars d’armes, de véhicules, de munitions et d’autres équipements américains.
Pourquoi volées ? Et si c’était des prises de guerre contre l’Armée afghane formée par les Etats-Unis – MIRASTNEWS
ÉCHEC DU VACCIN : Un nouveau cas de Covid sur trois à Los Angeles est une « percée » parmi les vaccinés

Ils étaient censés être « rares », mais les cas « révolutionnaires » de coronavirus [SRAS-CoV-2] de Wuhan [de la Coronavirus Desease 2019 (Covid-19)] – c’est-à-dire des infections chez des personnes « entièrement vaccinées » – représentent désormais au moins 30 % de tous les nouveaux « cas » dans la région de Los Angeles.
En mars, le chiffre était de 2%, passant à 20% en juin une fois que les médias ont commencé à parler de la variante « delta ». Aujourd’hui, en juillet, 30% de tous les nouveaux cas de virus chinois surviennent chez des personnes qui ont été piquées conformément aux directives du gouvernement.
Les responsables du comté de L.A. affirment que 98% de tous les nouveaux cas de grippe de Wuhan se présentent comme des cas delta, ce qui suggère qu’il s’agit désormais de la «souche» dominante du virus qui circule parmi les Angelenos.
Pire encore, le taux de vaccination à L.A. a augmenté, tout comme le nombre d’hospitalisations, qui n’a cessé d’augmenter au cours des trois derniers mois. Cela suggérerait que les injections, achetées dans le cadre de « l’opération Warp Speed », propagent davantage de maladies.
« Les personnes entièrement vaccinées ne représentaient que 5% des patients Covid hospitalisés à L.A. en avril », a rapporté Deadline. « Sur les près de 5,15 millions d’habitants du comté entièrement vaccinés mardi, 27 331 ont été testés positifs. »
Selon la directrice de la santé publique de Los Angeles, Barbara Ferrer, les hospitalisations dans la région augmentent régulièrement depuis plus d’un mois.
« Soyons clairs : ils ont définitivement la Covid », a déclaré Ferrer lors d’une conférence de presse. « Nous ne gonflons pas nos valises. »
Les autorités admettent que l’immunité vaccinale est «en déclin»
Les entièrement vaccinés étaient censés avoir été protégés du delta et de toutes les autres variantes, du moins selon Tony Fauci. Maintenant, cependant, ils tombent malades et doivent être hospitalisés.
Comment cela se passe-t-il si l’on doit faire confiance à la « science » ? La dernière excuse est que « l’immunité » vaccinale est maintenant « en déclin », en particulier chez les personnes âgées qui tombent malades et meurent à un rythme accru.
Israël est un exemple, car il a été parmi les premiers à adopter les vaccins contre la grippe Fauci, affichant désormais l’un des taux de conformité les plus élevés. Malgré cela, les hospitalisations parmi les personnes entièrement vaccinées en Israël ont augmenté de 1 000 %.
« Nous commençons peut-être à voir un peu le déclin de la protection (fournie par les vaccins), en particulier chez les personnes âgées », a déclaré Ferrer à propos d’un phénomène similaire prenant forme ici aux États-Unis. « Je partage l’inquiétude. »
Pourtant, Ferrer veut que tout le monde continue de se faire injecter car, à son avis, le nombre de malades et de mourants serait beaucoup plus élevé si nous n’avions pas du tout les vaccins.
«Avec ces taux élevés de transmission communautaire, des personnes plus complètement vaccinées contractent des infections post-vaccinales», dit-elle. « Cependant, ces mêmes informations indiquent également clairement le niveau de protection dont disposent les personnes entièrement vaccinées. »
« La plupart d’entre nous qui sommes complètement vaccinés, nous ne sommes pas infectés. Et si nous sommes infectés, nous ne finissons pas hospitalisés et il est très peu probable qu’ils perdent tragiquement la vie à cause de Covid s’ils sont complètement vaccinés. »
Tout cela ne devait durer que deux semaines au printemps dernier, comme vous vous en souvenez peut-être. On a promis aux États-Unis que 14 jours courts seraient suffisants pour « aplatir la courbe », et nous voici plus d’un an plus tard avec une série continue d’infractions liées au fascisme médical qui déferlent sur la pique.
« Les vaccins confèrent une immunité à la maladie », a écrit un commentateur à Deadline, précisant qu’« ils ne fournissent pas de symptômes réduits à une maladie » comme le font les « vaccins » contre la Covid.
« C’est un traitement », pas un vaccin, a ajouté ce même commentateur. « Ces ‘vaccins’ vont s’avérer être une erreur dans la façon dont ils ont été conçus et comment ils ont été administrés. »
Les dernières nouvelles sur les blessures et les décès causés par les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Ethan Huff
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Traduction : MIRASTNEWS
Source : Natural News
RUPTURE : une étude montre que l’immunité naturelle contre le COVID est supérieure à la vaccination
Brian Wilson décompose les résultats d’une étude israélienne qui démontre la durabilité et l’efficacité de l’obtention d’une immunité naturelle au COVID-19 par rapport à ceux qui ont été vaccinés avec la thérapie génique à ARNm de Pfizer.
https://freeworldnews.tv/watch?id=612935e002fdc872044e332a
VACCINS SANS FIN : le Canada vient de commander 7 doses de vaccins Covid pour chaque homme, femme et enfant

Sous la direction aux mains molles de Justin Trudeau, le Canada a pour mission de « reconstruire en mieux » et de mettre en œuvre une « Grande Réinitialisation » – des noms de code pour le communisme et le contrôle de la population. Ce système de contrôle et d’assujettissement se transforme en vaccins obligatoires pour les voyages, l’emploi, l’achat et la vente. Le Premier ministre menace actuellement les libertés civiles de tous sur cette question, instaurant une société à deux vitesses, une dictature totalitaire, un apartheid médical.
Il ne suffit pas de forcer la population à demander la permission de mener sa vie normale. Il ne suffit pas de menacer à chaque instant l’autonomie du corps et le consentement. Il ne suffit pas de contraindre la population à faire la queue pour des expériences qui reproduisent des armes biologiques dans leur sang, tout en fermant les yeux sur les caillots sanguins, les dommages neurologiques, les maladies graves et l’inflammation cardiaque qui affligent les vaccinés.
Avec arrogance, le gouvernement canadien vient de commander 293 millions de doses de vaccin Covid pour une population de 38 millions de personnes. C’est assez Vaccins de de caillots pour vacciner chaque homme, femme et enfant SEPT FOIS dans les années à venir !
Des injections bimensuelles d’armes biologiques arrivent-elles au Canada?
Le Canada vient de signer un contrat avec Moderna pour fournir 20 millions de doses d’ARNm expérimental pour 2022, 2023 et 2024. Le contrat laisse également la place à 15 millions de doses supplémentaires chaque année. Plus tôt dans l’année, Trudeau a annoncé que le Canada avait également conclu un accord avec Pfizer, stockant 35 millions de rappels pour 2022 et 33 millions de boosters supplémentaires pour 2023. Le contrat laisse place à 60 millions de doses supplémentaires pour les deux prochaines années et 60 millions boosters pour 2024.
En mettant en œuvre un système d’asservissement par vaccin, les autorités canadiennes peuvent prendre en otage les libertés des personnes et intimider les personnes pour qu’elles prennent autant de doses de protéines de pointe qu’elles le souhaitent. Alors que les autorités de santé publique stockent 293 millions de doses pour les années à venir, il semble que des injections bimensuelles d’armes biologiques soient désormais probables.
Il y a quelques mois à peine, les vaccins contre la Covid-19 étaient salués comme un « miracle de la science » qui mettait « un terme à la pandémie ». Ces fausses promesses de propagande ont été jouées de manière calculée et opportune, pour convaincre les gens que les injections sauvaient des vies et que toute liberté serait bientôt restaurée. Mais maintenant, quelques mois plus tard, le récit a changé et il n’y aura PAS DE FIN pour masquer les mandats, la censure, les restrictions de voyage, la recherche des contacts, la privation des droits de l’homme, les tests frauduleux forcés, les mandats de vaccins, l’isolement et l’internement.
Le Canada devrait-il construire de nouveaux hôpitaux et stocker des sacs mortuaires, car ils imposent la mort à leur peuple?
Covid-19 a toujours été une question d’esclavage, de vaccination forcée et de totalitarisme, et les gouvernements n’abandonneront jamais leur pouvoir mal acquis alors qu’ils promettent de « vous protéger ».
Peu importe le fait que ces nouveaux médicaments à ARNm sont encore en cours d’essais cliniques et se sont avérés dangereux pour le système cardiovasculaire, avec des dizaines de milliers de sacs mortuaires à prouver. En seulement trois mois, Moderna a reçu plus de 300 000 rapports d’événements indésirables de la part de consommateurs, rapports qui n’ont jamais été présentés à aucun système de surveillance gouvernemental, comme l’exige la loi.
Les pays fortement vaccinés de Grande-Bretagne, d’Australie et d’Israël sont actuellement enfermés dans une quatrième vague d’hospitalisations élevées parce que les vaccins ont détruit la réponse immunitaire humaine grâce à une amélioration dépendante des anticorps et en exerçant une pression sélective sur les protéines de pointe pour muter.
Alors que les hospitalisations augmentent, un nouveau rapport montre que les enfants et les jeunes adultes sont douze fois plus susceptibles de souffrir d’une myocardite due aux vaccins qu’on ne le pensait auparavant. Les essais cliniques de Pfizer montrent que les événements indésirables sont dix fois plus fréquents après la deuxième dose de protéines de pointe. Que peut-il arriver au système cardiovasculaire d’une personne après trois, quatre, cinq doses ? Le taux de blessures et de dépeuplement par vaccin augmente-t-il d’un multiple de dix à chaque injection subséquente ? Alors que le Canada se prépare à vacciner les citoyens plusieurs fois par an, le gouvernement devrait-il également construire de nouveaux hôpitaux et stocker des sacs mortuaires? Ou les autorités se protégeront-elles en continuant à construire des camps d’internement, à rassembler et à blâmer les non vaccinés pour tous les crimes perpétrés par le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques ?
Les sources comprennent :
Lance D Johnson
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Traduction : MIRASTNEWS
Source : Natural News
LA BOMBE! IL EXISTE UNE 💉☠️ VIDÉO : LE PDG DE PFIZER DIT QU’IL N’OBTIENDRA PAS SON PROPRE VACCIN
« J’ai 59 ans, en bonne santé, mon type n’est pas recommandé pour se faire vacciner »
ALORS VOUS L’AVEZ.
Si sa propre injection est sûre et efficace, pourquoi pas ?!?
« NON RECOMMANDÉ POUR MOI », MAIS IL EST RECOMMANDÉ POUR LES AUTRES DU MÊME ÂGE EN PARFAITE SANTÉ, PLUS JUSQU’À 12 ANS ??? J’AI COMPRIS. JE PEUX VOIR CLAIREMENT MAINTENANT.
Ce salaud est exactement de qui je parle quand j’utilise le mot « ils » ou « élite ».
Il y a une raison pour laquelle cette vidéo a été censurée et personne ne l’a vue.
Médecin militaire : « Le programme de vaccination contre le COVID a tué plus de jeunes en service actif que le COVID »

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News
Le Dr Lee Merritt a effectué une résidence en chirurgie orthopédique dans la marine des États-Unis et a servi 9 ans en tant que médecin et chirurgien de la marine où elle a également étudié les armes biologiques avant de retourner à Rochester, où elle était la seule femme à être nommée Louis A. Goldstein Fellow de chirurgie de la colonne vertébrale.
Le Dr Merritt exerce dans un cabinet privé de chirurgie orthopédique et rachidienne depuis 1995, a siégé au conseil d’administration de l’Arizona Medical Association et est l’ancien président de l’Association of American Physicians and Surgeons.
Le Dr Merritt s’est récemment adressé aux médecins de première ligne américains et a expliqué que tout au long de 2020, il n’y a eu que 20 décès parmi tous les militaires en service actif liés à COVID. Cependant, il y a maintenant de nombreux rapports de tumeurs et plus de 80 cas de myocardite (inflammation du cœur), qui a un taux de mortalité à 5 ans d’environ 66%, suite aux vaccins COVID-19 donnés aux militaires.
Avec le programme de vaccination, nous avons apparemment tué plus de nos jeunes en service actif que COVID.
Ce n’est pas la première fois que l’armée est impliquée dans le meurtre de militaires en service actif avec des vaccins expérimentaux. Cela s’est également produit pendant la guerre du Golfe avec le vaccin expérimental contre l’anthrax, qui, selon certaines estimations, a tué 35 000 militaires atteints de ce qu’on appelait à l’origine le «syndrome de la guerre du Golfe».
J’ai produit une vidéo qui comprend une épouse de l’armée d’un soldat en service actif en Corée du Sud expliquant comment son mari auparavant en bonne santé a maintenant des problèmes cardiaques majeurs après avoir pris les vaccins COVID-19, suivi d’un dénonciateur médical qui explique jusqu’où iront l’armée pour couvrir les décès liés aux vaccins expérimentaux.
[Et si la hiérarchie de l’Armée américaine a été corrompue par les mondialistes eugénistes ou faisait elle-même partie du système de la Grande Réinitialisation ?
Cette question de la vaccination forcée ne peut être résolue que par les militaires d’actifs eux-mêmes qui ont la possibilité de s’informer sur la qualité, la sécurité, l’efficacité et la sûreté des vaccins COVID-19 avant qu’il ne soit trop tard. Car dans cette affaire le laboratoire de Fort Detrick est fortement soupçonné dans la mise au point du virus SRAS-CoV-2 de la Covid-19 avec la collaboration de l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill.
Il n’est d’ailleurs pas étonnant que les renseignements des Etats-Unis essaient de brouiller les cartes en ramenant la piste du coronavirus naturel dont ils sont incapables de présenter le type de Chauve-souris qui en est porteur.
Des experts expliquent que les Etats-Unis possèdent cinq types de coronavirus de chauve-souris dans leurs stocks biologiques en laboratoires et des analystes ont bien montré les liens directs de Bill Gates, Georges Soros ou Anthony Fauci avec le Laboratoire chinois de Wuhan.
Le but est de brouiller suffisamment les pistes pour éloigner les auteurs d’une enquête internationale pluridisciplinaire indépendante en Chine, aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et alliés sur l’origine du SRAS-CoV-2 et la maladie à Coronavirus de 2019 (COVID-19), à laquelle devrait être adossée une Commission scientifique pour vérifier de l’opportunité, la sécurité, la sureté, l’efficacité et la qualité des vaccins COVID-19. JDDM – MIRASTNEWS]
Veuillez regarder ceci et partager avec tous ceux que vous connaissez dans l’armée, afin que nous ne voyions pas une répétition dans l’histoire de ce qui s’est passé avec le vaccin contre l’anthrax.
Il vaut mieux risquer une cour martiale et perdre votre carrière militaire que de donner votre vie pour un vaccin, ou de devenir définitivement invalide pour ce qui est maintenant le plus grand essai public de vaccin jamais mené sur l’humanité.
C’est de notre chaîne Rumble, et ça devrait aussi être sur notre chaîne Bitchute sous peu.
Aussi, voici le documentaire : « Vaccine Syndrome : How the Experimental Anthrax Vaccine Killed 35,000 Military Men and Women » de notre chaîne Bitchute.
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Traduction : MIRASTNEWS
Source : Health Impact News
PFIZER – BOURLA ADMET QU’UN VACCIN DELTA EST DEJA FAIT… QUELLE SURPRISE….
Merci Wakeup2019 pour information
Ces virus sortent à la fois des laboratoires et des variants de vaccinés et ils embrouillent avec les armes de destruction massives jusqu’à ce que l’objectif de dépopulation soit atteint ! Qui vivra, verra ! – MIRASTNEWS
Le gazoduc Algérie-Maroc suspendu, Israël continue à nuire au Marocains

À peine quelques heures après la première attaque anti-israélienne au Maroc, une nouvelle faisant l’effet de bombe : le gazoduc Algérie-Maroc n’est plus ! Israël continue à nuire au Maroc…
Suite à la rupture des relations diplomatiques entre l’Algérie et le Maroc, le ministre algérien de l’Énergie a annoncé la suspension des exportations de gaz du pays via le gazoduc traversant le territoire marocain et son remplacement par un gazoduc offshore.
Lors d’une rencontre avec l’ambassadeur d’Espagne en Algérie, Fernando Moran, le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a annoncé jeudi 26 août le plein engagement de son pays à assurer l’ensemble des approvisionnements en gaz de l’Espagne via le gazoduc Medgas qui relie directement les deux pays. Ce qui laisse entendre que l’Algérie se passera du gazoduc qui le relie à l’Europe en passant par le Maroc.
Le ministre algérien a souligné, par la même occasion, les capacités dont dispose l’Algérie pour répondre à la demande en gaz de plus en plus croissante des marchés européens et plus particulièrement le marché espagnol, et ce, grâce à la flexibilité en matière de capacités de liquéfaction que possède le pays.

Jusqu’à présent, l’Algérie approvisionne l’Espagne en gaz via deux gazoducs : l’un d’entre eux étant Maghreb-Europe en service depuis 1996. Le Maroc bénéficiait de ce gazoduc en recevant des revenus financiers sous forme de droits de transit, en plus de quantités annuelles de gaz naturel.
Quant au deuxième gazoduc qui est Medgaz, il relie la ville côtière de Beni Saf dans l’Ouest algérien directement à Almeria dans le sud de l’Espagne, et a été inauguré en 2011, avec une capacité de transport de 8 milliards de mètres cubes par an.
En mai dernier, la compagnie pétrolière algérienne Sonatrach a annoncé qu’elle porterait les capacités du gazoduc Medgaz à plus de 10 milliards de mètres cubes de gaz destiné à être transporté vers l’Espagne, grâce à un investissement qui a coûté 280 millions de dollars.
À l’été 2018, Sonatrach a renouvelé le contrat d’approvisionnement de gaz à l’Espagne pour une durée de 10 ans, avec des quantités s’élevant à 9 milliards de mètres cubes par an.
Ainsi, le ministre algérien de l’Energie Mohamed Arkab a exprimé dans ce cadre, la volonté de son pays de développer dans les plus brefs délais le projet de gazoduc transsaharien.
L’Algérie accorde un intérêt particulier à la concrétisation rapide du projet de gazoduc transsaharien (TSGP) visant à connecter les gisements de gaz naturel nigérian à l’Europe via le réseau de gazoduc algérien, a affirmé jeudi à Alger le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab.
Lire aussi : Israël se sert de Rabat pour attaquer l’Algérie. Mais est-ce une bonne idée?Maroc/Algérie: Israël aura sa guerre?Algérie/Maroc: les Accords d’Abraham largement échoués au Moyen-Orient, vont-ils réussir au Maghreb ?

Algérie/Maroc: les Accords d’Abraham largement échoués au Moyen-Orient, vont-ils réussir au Maghreb ?
« Nous accordons un intérêt particulier à la concrétisation rapide de cet important projet qui donnera un nouvel élan aux relations entre nos deux pays, en termes de coopération technique et de renforcement des capacités », a souligné Arkab dans son discours à l’occasion d’une rencontre au siège du ministère avec la délégation de l’Institut national des études politiques et stratégiques du Nigéria (NIPSS) qui effectue une visite en Algérie, rapporte l’agence officielle APS.
Ceci, a-t-il dit, induira des retombées socio-économiques importantes dans les pays de transit, dans le respect de la protection de l’environnement et du développement durable. À cet effet, le ministre a réitéré le souhait de la partie algérienne de voir le Nigéria ratifier l’accord inter-gouvernemental relatif au projet TSGP signé en 2009 à Abuja. Le projet est inscrit dans le cadre du programme du nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), a-t-il fait savoir.
« Nous devrions œuvrer ensemble pour construire l’avenir énergétique de l’Afrique, à travers le renforcement des relations bilatérales », a-t-il plaidé, tout en relevant les importantes ressources énergétiques dont disposent les deux pays et qui leur permettent de réaliser de nombreux projets d’intérêt commun qui vont contribuer », a-t-il noté, au développement du continent à travers l’amélioration de l’accès à l’énergie.
Pour rappel, l’idée d’un gazoduc reliant le Nigeria à l’Algérie, surnommé le Transsaharien, a germé dans les années 1980, l’accord ayant conduit à la mise en œuvre du projet en 2009 par les gouvernements du Nigéria et de l’Algérie.

L’institut algérien du pétrole (IAP) a signé une convention de partenariat dans le domaine de la formation avec l’Institut national du pétrole et du gaz du Sénégal (INPG)
Source: Press TV Français
Afghanistan : le sale jeu des USA (Débat)
Comme prévu : à quelques encablures du 20e anniversaire du 11 septembre 2001, l’Amérique de Biden a eu aussi son 11/9 … Non loin de l’aéroport de Kaboul où se déroule depuis une semaine une complexe opération non pas d’évacuation de troupes comme annoncée mais de redéploiement d’agents de la CIA et des services secrets annexes dans l’objectif de faire le coup qui vient de se produire. Quatre explosions, dont trois kamikazes avec un bilan de 103, dont 13 marines américains … Un false flag digne de la débandade US en cours… Biden promet la vengeance et un retour US … Toujours est-il que Daech de Khorassan en allusion à la province orientale iranienne a revendiqué le coup et le Pentagone affirme qu’une centaine de ses éléments se trouvent déjà à l’intérieur de l’aéroport…
Lors d’un point de presse, jeudi, le chef du Commandement central de l’armée américaine (CentCom) a déclaré que les explosions de Kaboul avaient été suivies d’une fusillade.
McKenzie a reconnu que la menace du groupe terroriste Daech persiste aux côtés d’« autres flux de menaces actives ».
« Nous pensons que c’est leur désir de poursuivre ces attaques et nous nous attendons à ce que ces attaques se poursuivent – et nous faisons tout notre possible pour être préparés », a-t-il prévenu.
Il a souligné aussi que d’autres attaques terroristes sont attendues à Kaboul alors que les évacuations se poursuivent.
« Les évaluations du Pentagone montrent que deux kamikazes, membres du groupe terroriste Daech, étaient responsables des explosions de jeudi près de l’aéroport de Kaboul, capitale afghane », a-t-il affirmé.
« Nous nous réservons le droit de mener des opérations contre Daech en Afghanistan. Nous travaillons dur pour identifier les auteurs de ces attentats à la bombe», a-t-il menacé.
Arnaud Develay, juriste international et Luc Michel, géopoliticien s’expriment sur le sujet.
Source: Press TV Français
Zoom Afrique du 27 août 2021
Dans le golfe de Guinée, les États-Unis et la France opèrent pour empêcher une arrivée massive des forces navales iraniennes et russes ?
Actualité en Afrique :
- Le Nigeria veut utiliser l’expertise hongroise pour l’assemblage local des avions
- Le Kenya veut doubler sa consommation de café d’ici 2025
- Angola : la mise en concession du chemin de fer de Benguela, qui traverse le pays d’ouest en est, se profile
- Des universités africaines lancent un réseau pour faciliter la mobilité des étudiants sur le continent
Analyses de la rédaction :
1. Éthiopie: un réseau social africain pour le continent !
Pour faire face aux informations mensongères des médias occidentaux et vaincre la campagne de guerre médiatique que lui ont imposée les États occidentaux, l’Éthiopie compte y remédier en lançant son propre réseau social !
Avec l’effet domino qui est très puissant sur le continent africain, c’est l’Occident qui va rechigner.
Déjà critiquées dans les médias mainstream, la population, le gouvernement et les soldats de l’armée fédérale en ont plus qu’assez des politiques occidentales qui visent seulement à déstabiliser tout un pays et même toute une région, rien que pour assouvir leurs propres intérêts personnels.
Face aux critiques du monde occidental concernant entre autres la volonté d’Addis Abeba de ramener la paix dans le Nord du pays, mais également de développer l’Éthiopie pour en faire un hub économique mondial, et vu l’incapacité de l’Occident à accepter le fait que l’ère du colonialisme est terminée, le gouvernement éthiopien a pris une décision pour le moins surprenante, mais très habile dans le but d’offrir la réalité sur la situation dans le pays au monde entier. En effet, l’Agence nationale de sécurité des communications du pays vient d’annoncer que l’Éthiopie travaille à créer un réseau social pour concurrencer, au plan local et même à l’échelle continentale, les plateformes comme Facebook, Twitter et WhatsApp qui font l’objet de nombreuses condamnations et de suspensions en Afrique suite à leur implication directe dans la déstabilisation des pays d’Afrique.
D’après des propos de Shumete Gizaw, le directeur de l’Agence nationale de sécurité des communications, l’Éthiopie souhaite que son réseau social « remplace » ces grandes plateformes et ne prévoit pas bloquer l’accès à Facebook, Twitter, WhatsApp ou Zoom sur son territoire. Il faut dire que la situation entre les autorités locales et ces plateformes est de plus en plus tendue notamment suite aux nombreuses fausses nouvelles que ces plateformes publient continuellement concernant la situation dans le pays.
En effet, le directeur a accusé Facebook de supprimer des publications et des comptes d’utilisateurs qui « diffusaient la vraie réalité de l’Éthiopie ».
Il faut également rappeler que les autorités éthiopiennes avaient subi des critiques acerbes pour avoir bloqué, en mai dernier, l’accès aux réseaux sociaux pendant quelques jours, dans certaines régions du pays.
Shumete Gizaw, sans donner d’informations sur la date de lancement du projet, a assuré que l’Éthiopie disposait de l’expertise locale pour parvenir à ses fins sans avoir besoin de l’intervention de spécialistes étrangers. Dans une intervention dans un média local, l’intéressé a même évoqué l’essai d’une plateforme capable de remplacer WhatsApp.
À peine l’initiative est-elle évoquée, les médias mainstream en profitent pour la critiquer ouvertement. Et évidemment, les arguments sont toujours les mêmes, regardons ensemble un exemple : « les autorités pourraient finir par ne se servir du projet que pour véhiculer leur version. »
Bref, ils n’apprécient pas cette initiative. Mais ce qu’ils n’apprécient pas par-dessus tout, c’est vraiment l’effet domino qui est extrêmement rapide sur le continent.
Étant donné que plusieurs pays d’Afrique ont condamné les médias mainstream surtout lors des élections présidentielles, plusieurs médias comme RFI ou encore France 24 ont d’ailleurs été suspendus, les différents réseaux sociaux qui ont également été suspendus comme on a pu le constater récemment au Nigéria avec la suspension de Twitter, ainsi que les ONG qui sont de plus en plus visées avec la dernière en date MSF au nord du Cameroun.
D’ailleurs, les révélations de la conseillère principale de l’ONG Amnesty International pour les crises, Donatella Rovera, qui a admis que les rapports de l’organisation relatifs au génocide, aux viols de masse et au mercenaire en Afrique sont largement basés sur des mythes visant à délégitimer les gouvernements ciblés, n’ont pas vraiment plaidé en la faveur de l’Occident.
En créant son propre réseau social, il est clair que l’Éthiopie pourra retirer un grand poids qui pèse sur les épaules du pays. Et nous vous laissons imaginer ce que ça donnerait si d’autres pays d’Afrique emboîtaient le pas à Addis Abeba !
2. Golfe de Guinée: bientôt l’arrivée de l’Iran ?
Dans le golfe de Guinée, les États-Unis et la France opèrent pour empêcher une arrivée massive des forces navales iraniennes et russes ?
L’Occident multiplie ses exercices militaires navals dans le golfe de Guinée. Outre que les nombreux exercices américains qu’on a pu voir dernièrement, la France emboîte le pas aux États-Unis pour montrer sa présence dans la région.
Dans sa longue route sur l’Atlantique pour rejoindre Dakar dans le cadre de l’opération Corymbe, la marine française a effectué des séances d’entraînement avec son homologue marocain. Certes, cela concerne la situation politique entre le Maroc et l’Algérie, mais cet entraînement a eu lieu au cours d’une rencontre en haute mer au large de Casablanca entre l’équipage français du patrouilleur de haute-mer (PHM), qui a appareillé de la base navale de Toulon, lundi 9 août et la corvette marocaine Sultan Moulay Ismail, indiquent les sources du ministère français des Armées.
Pour rappel, la France déploie depuis 1990, un à deux PHM pour l’opération CORYMBE de façon quasi permanente dans le golfe de Guinée, prétendument pour contribuer à la diminution de l’insécurité maritime. Et actuellement, la France tient absolument à profiter de la moindre occasion pour montrer sa présence aux côtés des États-Unis.
De leur côté, les pays africains de la côte continuent de créer des alliances entre eux afin de préserver leur territoire en mer.
Le président du Cameroun, Paul Biya a dépêché au Nigeria, une mission constituée de hauts responsables en charge des questions de sécurité et de défense.
La rencontre du comité dédié à la sécurité transfrontalière intervient dans un contexte où les populations des deux pays frontaliers font face à de nombreux défis sécuritaires marqués par la montée de l’irrédentisme, les exactions de Boko Haram et la piraterie maritime dans le golfe de Guinée.
Ces derniers mois, les populations de la longue frontière entre les deux pays subissent les exactions de Boko Haram et des pirates dans le golfe de Guinée.
Par ailleurs, Yaoundé accuse les séparatistes de se réfugier au Nigeria où ils sont soupçonnés de se ravitailler en armements avec l’intermédiaire des groupes terroristes présents dans la zone.
Selon les experts, lors de la rencontre ouverte mardi à Abuja, les deux parties ont réaffirmé leur volonté de mutualiser les efforts pour faire face aux menaces sécuritaires qui secouent les deux pays.
Début août, à l’initiative du chef du gouvernement indien, dont le pays préside le Conseil de sécurité en août, Présidents, Premiers ministres et ministres ont discuté virtuellement des moyens de contrer les menaces à la sécurité des océans et des mers, « bien public mondial » et de la « bouée de sauvetage » du commerce international, selon les mots de Narendra Modi.
Ces initiatives et alliances mises en place sont dangereuses pour les occupants occidentaux de la région du golfe de Guinée. La raison ?
Car cela augmente considérablement les probabilités d’une arrivée massive de la flotte iranienne et russe dans la région, tout comme dans l’océan Indien vers Madagascar; avec les accords signés justement en Inde entre les ministres iranien et malgache de la Défense, qui a permis d’ailleurs la mise en place d’exercices navals d’envergure irano-russe dans la zone pour la lutte contre la piraterie, tant convoitée par la France et par les États-Unis.
Cette fameuse lutte contre la piraterie et la mise en place de ces fameux pirates qui n’ont que pour missions de s’attaquer aux navires russes, chinois, ou encore turcs, était un prétexte utilisé lors de la période où les Occidentaux avaient encore leur hégémonie dans le monde. Ils mettaient en place des mercenaires terroristes ou des pirates en mer pour justifier leur présence militaire aux yeux du monde. Mais maintenant que d’autres puissances comme l’Iran ou la Russie et la Chine ont brisé ce monopole, cette technique présente un revers de taille. Au lieu de faire appel aux Occidentaux, de plus en plus de pays d’Afrique se tournent vers le bloc de l’Est qui comprend justement l’Iran, la Russie et la Chine.
Ce qui fait que les ambitions colonialistes des Occidentaux disparaissent de plus en plus. Et le jeu du pompier pyromane à l’occidentale est devenu totalement obsolète.
3. Le Sahel ; le plus grand labo d’expérimentaiton militaire
Au Sahel, voyant les initiatives des pays du Sahel de vouloir récupérer la souveraineté du ciel, le camp occidental de son côté, annonce ouvertement que l’objectif de la présence de force aérienne au Niger et évidemment de force terrestre au Mali ne vise qu’à un entraînement et non à une prétendue lutte contre le terrorisme.
En 2020, l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] a reçu deux systèmes de drones MQ-9 Reaper portés au Block 5 [soit six appareils au total], lesquels ont directement été envoyés sur la base aérienne projetée [BAP] de Niamey [Niger] dans le cadre de l’opération Barkhane.
Cette décision se justifiait par le fait qu’il n’était alors pas possible de faire évoluer ces drones dans l’espace aérien français, comme l’avait récemment expliqué Joël Barre, le Délégué général pour l’armement [DGA], lors d’une audition parlementaire. En effet, ses services ne furent pas en mesure de « garantir la sécurité des vols » de ces appareils, faute d’avoir suffisamment d’informations sur leurs nouveaux logiciels.
« La difficulté que nous avons eue avec le Reaper Block 5 vient du fait qu’il s’agit d’équipements américains. L’affaire montre notre degré de dépendance dans ce genre de processus, face à une configuration de logiciel entièrement nouvelle et à un niveau de qualité dont nous ne savons pas s’il est suffisant, alors que nous sommes responsables du niveau de sécurité associée à la mise en œuvre des matériels », avait en effet affirmé le DGA.
Aussi, les vols d’expérimentation du MQ-9 Reaper Block 5 ne pouvaient être réalisés par le Centre d’expertise aérienne militaire [CEAM] de l’AAE que sur un théâtre extérieur, c’est à dire au Sahel. Et il fallut attendre mai dernier pour voir l’un d’eux réaliser une première mission opérationnelle.
Le dernier compte-rendu des opérations de l’État-major des armées pour la période allant du 13 au 19 août n’évoque pas de frappes aériennes réalisées par la force Barkhane. Or, il y en a eu au moins une.
En effet, le 17 août, un Reaper Block5 a largué une bombe à guidage laser GBU-12 dans « un cadre opérationnel ». Et, selon l’EMA, ce système a donc « ainsi franchi nouvelle étape vers sa pleine capacité opérationnelle ».
De plus, l’Allemagne s’y colle également.
Les Allemands ont donc décidé d’installer une base militaire sous la bannière d’école de formation de force spéciale. Pourtant, certains parlementaires allemands ont annoncé ne pas être au courant d’un tel déploiement. Le chef d’état-major des forces armées allemandes a bien précisé qu’il n’était pas nécessaire de tenir au courant Berlin et que de toute façon, cette opération entrait dans le contexte de la participation allemande à l’EUTM Mali, censé former les soldats maliens.
Le 16 juillet cette base a donc été inaugurée à Tillia, évidemment proche de la frontière malienne.
De plus, cette base est très importante visiblement pour Berlin, au point même que l’Allemagne a envoyé un aérostat de type « Eye in the sky ». C’est un système de reconnaissance de zone par ballon captif pour protéger la base d’opération avancée au Niger, avec des capteurs de surveillance. Capables de rester au-dessus de l’installation à protéger pendant de longues périodes, ces aérostats peuvent repérer des éléments hostiles à grande distance grâce à leurs capteurs très sensibles », est-il expliqué dans le communiqué. D’ailleurs, les forces américaines en utilisent depuis longtemps…
Pourtant, malgré de telles dispositions, les attaques terroristes ne font qu’augmenter, et ce sont les soldats nigériens, maliens, ou encore burkinabés et bien entendu les civils qui en payent le prix.
Mais pourquoi diable se donner la peine de s’investir à ce point-là dans les pays du Sahel ?
Récemment, nous avons pu constater que les pays du Sahel, en l’occurrence le Niger et le Burkina Faso, tentent d’investir dans la force aérienne pour assurer la sécurité de leur territoire. Pourtant, nous savons également que cela n’arrange pas vraiment le camp occidental.
Et ces évènements arrivent, comme par hasard évidemment, tout de suite après l’annonce de Niamey de déployer une base aérienne proche de la frontière nigériane. De plus, une coopération militaire aérienne a également été mise en place entre le Burkina et le Niger.
Et on se rend compte qu’à peine quelques jours après, de nouveaux drones Reaper s’ajoutent au dispositif français au Niger, et l’Allemagne prend de plus en plus de précaution pour protéger ses bases, toujours au niveau aérien.
Bref, que des histoires à dormir debout. Le camp occidental prend beaucoup de précautions en se sentant de plus en plus en danger. Évidemment, ce ne sont pas les alliés terroristes qui sont dangereux pour eux, mais bel et bien les militaires sahéliens et les populations, qui pensent beaucoup à également prendre les armes et à se battre pour réinstaurer la sécurité dans le pays. Ce qui montre également que le Sahel est devenu un terrain d’entraînement pour les Occidentaux.
En France, l’idée d’avoir recours à des ballons ainsi qu’à des dirigeables autres que ceux utilisés par l’escadron 92.532 Syderec pour assurer la continuité des communications des forces stratégiques françaises, avait été avancée en 2019 par le général Michel Grintchenko, alors commandant de l’Aviation légère de l’armée de Terre [COMALAT].
« Ma vision est que, pour recueillir du renseignement, il faut un vecteur aérien porteur d’un ou de plusieurs capteurs. En fonction de la mission, de la menace, de la météo, du plafond nuageux, ce pourrait être un Rafale, un Atlantique 2, un hélicoptère, un drone lent ou rapide, voire un ballon ou un dirigeable, qui referont probablement surface, car ils offrent des coûts de possession très réduits. Je crois dur comme fer en la complémentarité des différents vecteurs », avait-il en effet estimé.
Plus tard, la Direction générale de l’armement [DGA] a mené des expérimentations dans le cadre du programme CERBERE [Capacité expérimentale ROEM pour ballons et aérostats légers] en matière de recueil du renseignement d’origine électromagnétique.
Donc, le Sahel ne sera pas en paix tant que les Occidentaux seront présents militairement dans la zone. Les entraînements et les expérimentations continueront, et pour garder les yeux du monde entier fermés, le terrorisme doit être également en pleine expansion.
Les populations se soulèvent comme les Burkinabés se sont soulevés, et c’est surtout cela qui fait peur au camp occidental. Ils peuvent avoir tous les techniques et matériels de guerre qu’ils veulent, face à plus de 80 millions d’habitants, avec une bonne moitié de jeunes, il sera difficile pour les Occidentaux de faire face à un tel soulèvement.
Source: Press TV Français
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