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AUDIO LEAK OF A PHONE CALL BETWEEN IVORIAN DICTATOR ALASSANE DRAMANE OUATTARA AND FORMER MALIAN PRIME MINISTER (RUSSIA QUOTED) + Zoom Afrique du 16 février 2022 : Sommet UA-UE, Afrique du Sud, Nigeria, Malawi + Nouvel avertissement algérien au régime sioniste

AUDIO LEAK OF A PHONE CALL BETWEEN IVORIAN DICTATOR ALASSANE DRAMANE OUATTARA AND FORMER MALIAN PRIME MINISTER (RUSSIA QUOTED)

In reality, another coup is being prepared behind the scenes as in Côte d’Ivoire under Laurent Gbagbo with the complicity of ECOWAS, the African Union and other predatory negative forces with unilateralist tendencies such as the UN peacekeepers, according to sources.

From March, France would consider creating a parallel government which will be recognized by their « international community » as in Côte d’Ivoire at the Hotel du Golfe.

It is in this way that they install false democracies and forcefully and maliciously seize natural resources, wealth and countries, while further impoverishing nations and their populations, who find themselves in exile and subsequently fought in countries ruled by predatory oligarchies, by politicians like Eric Zemmour.

The Malian people, the Africans and the transitional authorities will have to take this into account and prepare for all eventualities on all fronts, to thwart and defeat the plot in preparation in the shadows. They should learn from what happened in Libya and Syria under Muammar Gaddafi and Bashar al-Assad.

In Syria for example, predators came to seize the country and for the construction of Greater Israel dear to Bernard Henri Lévy and a gas pipeline in the Middle East against the interests of Russia and a pipeline that would leave Nigeria to Europe.

In Libya, weapons, ammunition and other equipment and supplies intended for the horde of terrorists were delivered in very large quantities in the desert over very vast expanses, in containers from the air by planes.

Many of these terrorists end up in the Sahel, others are trained there. This means that all movements, actions and gestures in the Sahel region and the surrounding regions will have to be constantly monitored, followed up and analyzed thoroughly.

Normally, logic would lead Burkina Faso, which is caught in the same turmoil, to ally with Mali. Yet these very cunning forces always try wherever they go to divide by applying unfair double standards and manipulating policies to separate and isolate them in order to attack them in turn, unless they have been themselves in the shadows, the authors of certain coups serving their interests.

These predatory negative forces without heart, faith or law, took hundreds of thousands of terrorists to Syria in their luggage and pretended to fight against them. They took the opportunity to totally and methodically destroy the country without openly declaring war and bombarded strategic and neuralgic points, taking advantage of the benefits of the UN.

Donald Trump revealed one of the objectives of the operation, that of exploiting the hydrocarbons of Syria.

It is therefore necessary to anticipate very quickly the evolution of events on the ground and not to procrastinate, because everything can go very quickly, these forces changing their tactics all the time and when they are in difficulty, they bring in the UN to stop fighting by initiating and executing with terrorists false flag operations, such as the projection of chemical weapons in densely populated areas, which they falsely attribute to their enemies on the ground.

According to sources, a preliminary investigation was opened by the public prosecutor’s office for attacking or attempting to attack and complicity in the internal and external security of Mali, on the basis of this telephone conversation, the authenticity of which is being verified, between the two high Ivorian and Malian personalities, in this case Alassane Dramane Ouattara occupying the presidential chair in Abidjan and Cissé Boubou former Prime Minister of Mali, according to the Parquet of Commune 4 of the capital Bamako.

France seeks without shame or embarrassment, escalation with Mali through daily provocations

Jean de Dieu MOSSINGUE

SPEECH BY CHOGUEL ON THE OCCASION OF HIS SECOND EXCHANGE MEETING WITH THE DIPLOMATIC CORPS.

CHOGUEL MAIGA: we don’t want all that anymore, what’s the point???

MIRASTNEWS

VEUILLEZ MONTRER CETTE VIDÉO À TOUTE PERSONNE QUI ENVISAGE DE PRENDRE LE VACCIN !

Bit Chute

Zoom Afrique du 16 février 2022

Le Burkina Faso aurait dit oui pour une base militaire française, le Bénin en réflexion?

La France a décidé de retirer ses forces militaires du Mali et projette une réorganisation stratégique. Selon certaines informations, encore à vérifier, le Burkina Faso aurait accepté l’installation sur son territoire, d’une base militaire française.

Actualité en Afrique :

  • Sommet UA-UE : des rencontres sont annoncées à Paris avant celles de Bruxelles
  • Afrique du Sud : la valeur du top 5 des banques cotées en bourse progresse, après des alertes positives sur les revenus
  • Nigéria : vers le lancement d’un fonds de 50 millions $ pour soutenir les entreprises locales du secteur pétrolier
  • Malawi : le projet Kayelekera a la capacité de produire plus d’uranium que prévu

Analyses de la rédaction :

1. Éthiopie : le TPLF anéanti, un rapport d’amnesty le confirme !

En Éthiopie, suite à l’amélioration de la situation sécuritaire dans le pays et de la grande capacité du gouvernement à neutraliser les menaces, le Parlement éthiopien a approuvé, ce mardi, la levée de l’état d’urgence mis en place en novembre dernier pour une durée de six mois.

La levée anticipée de l’état d’urgence fait suite à une proposition présentée à cet effet, en janvier dernier, par le gouvernement du Premier ministre, Abiy Ahmed, à la Chambre des députés, le cabinet évoquant l’amélioration de la situation sécuritaire dans le pays et la capacité du gouvernement à neutraliser les menaces.

« La Chambre des représentants du peuple éthiopien a approuvé aujourd’hui la levée de l’état d’urgence décrété pour une durée de six mois, trois mois avant l’échéance prévue », a fait savoir le Parlement éthiopien sur son compte Twitter.

Le gouvernement éthiopien avait décrété début novembre dernier, l’état d’urgence dans l’ensemble du pays, pour contrer les rebelles terroristes du TPLF qui comptaient descendre jusqu’Addis Abeba la capitale.

Les nombreuses fake news que les médias mainstream ont toujours relayé, en collaborant pour le compte des rebelles du TPLF, n’ont pas eu l’effet escompter qui était de créer la panique au sein de l’Éthiopie et aussi tenter de retourner le peuple éthiopien contre son gouvernement et l’armée fédérale.

Les médias ont régulièrement imputé de nombreux crimes de guerre, notamment des viols en masse, aux soldats éthiopiens et érythréens. Ce qu’évidemment des pays occidentaux comme les États-Unis, n’ont pas arrêté de dénoncer, car ils étaient évidemment du côté des rebelles. D’ailleurs, la réunion des neuf chefs rebelles, pour que tous les groupes rebelles s’unissent officiellement pour déstabiliser l’Éthiopie et la Corne de l’Afrique, s’est tenue à Washington.

Maintenant que ces rebelles terroristes, soutenus par les États-Unis, se sont affaiblis et n’ont pas réussi à mettre en place le plan de Washington qui consistait à réduire l’Éthiopie à feu et à sang, un rapport d’Amnesty Internationale est sorti accusant cette fois-ci les rebelles du TPLF de crime de guerre.

L’ONG Amnesty International a publié mercredi un rapport faisant état de viols collectifs perpétrés par des rebelles du TPLF sur des dizaines de femmes et de jeunes filles dans la région Amhara.

Des rebelles du TPLF ont violé collectivement des dizaines de femmes et de mineures dans deux localités de la région Amhara, affirme mercredi 16 février un rapport de l’organisation de défense des droits de l’Homme Amnesty International.

Amnesty dit avoir interviewé 30 victimes de viols – certaines âgées de 14 ans – et d’autres victimes de violences survenues dans les localités de Chenna et de Kobo en août et en septembre, après leur prise de contrôle par le Front de libération du peuple du Tigré.

Ce n’est pas la première fois qu’une ONG et le gouvernement éthiopien accusent ouvertement les rebelles de crimes de guerre. Pourtant, côté condamnation de Washington ou même des pays européens, c’est le silence radio.

En plus, les médias mainstream accusaient ouvertement le gouvernement éthiopien et l’armée fédérale d’être l’auteur de ces crimes de guerre. De nombreux articles en parlent toujours maintenant. Et pour ne pas avouer leur erreur, les médias occidentaux continuent de dire que les exactions ont eu lieu dans les deux camps. Bref, c’est bel et bien une énorme campagne de désinformation qui a couvert la guerre contre les rebelles terroristes du TPLF dans les régions du Nord.

Addis Abeba attend toujours que la fameuse Communauté internationale, ou plutôt occidentale, qui se dit défenseur des droits de l’homme et des libertés, condamne les exactions des rebelles du TPLF, et même les exactions des rebelles et des terroristes à travers toutes l’Afrique et rend hommage aux nombreux civils et soldats qui ont péri dans les affrontements contre ces groupes. Tout ceci montre seulement le mépris de cette même Communauté internationale contre l’Afrique, et rien d’autre.

2. Burkina: Pour qui roule la junte?

La France a décidé de retirer ses forces militaires du Mali et projette une réorganisation stratégique. Selon certaines informations, encore à vérifier, le Burkina Faso aurait accepté l’installation sur son territoire, d’une base militaire française.

Le retrait définitif des forces françaises du Mali devrait être acté mercredi lors de la rencontre à Paris entre le président français et les dirigeants du G5 Sahel, ou une partie des dirigeants. Si donc l’armée française quitte le Mali, elle ne quitte pas pour autant le Sahel, a expliqué le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian. Il va sans dire que les militaires vont être redéployés vers d’autres pays qui selon Paris « sont demandeurs ». Est-ce réellement une demande des pays africains ?

Paris annonce que les pays susceptibles d’être approchés pour négocier l’implantation d’une base militaire sont le Burkina Faso, le Bénin, le Niger, le Ghana, le Togo ou encore la Côte d’Ivoire. Selon certaines informations, le Burkina aurait dit oui à l’implantation d’une base militaire française sur son sol. On ne sait pas ce qui a été réellement négocié, mais les militaires au pouvoir auraient accepté l’offre française de s’installer sur leur territoire.

Cette information intervient alors que ces derniers jours, la France a multiplié ses falsflag sur des prétendues gains militaires, obtenus lors d’opérations contre le terrorisme. Si le Niger et la Côte d’Ivoire ne devraient visiblement pas poser de problème pour accueillir Barkhane sur son territoire, la question est de savoir quelle décision prendrait le Bénin sur cette question sachant que les terroristes ont étendu leurs tentacules vers ce pays et ses voisins comme le Togo et le Ghana.

La situation au Bénin n’est pas très alarmante pour l’instant et les forces béninoises devraient être en mesure de contenir la menace avec un peu plus de moyens. Le Ghana et le Togo également sont plutôt assez préparés face à la menace.

Il va sans dire qu’une base étrangère dans ces pays pour combattre le terrorisme ne devrait pas être à l’ordre du jour quand on observe ce que sont devenus la Libye, le Mali, le Niger ou encore la Centrafrique, pour ne pas compter en plus le Moyen-Orient, après le passage ou l’arrivée des forces françaises dans ces pays.

Le Mozambique a tenu bon et malgré toutes les pressions, Maputo a refusé l’arrivée massive des militaires français et américains sur son territoire. Les militaires de la SADC et les troupes rwandaises sont venus soutenir l’armée mozambicaine pour lutter contre Daech qui tente depuis 2017 de prendre le contrôle de la région du nord appelé Cabo Delgado, juste à l’endroit où la firme française Total a investi plus de 44 milliards de dollars dans les projets pétro-gaziers.

Mais il y a aussi le côté géostratégique à prendre également en compte, avec l’emplacement du Mozambique par rapport à l’océan Indien. Bref, une fois que des intérêts occidentaux entrent en jeu, le terrorisme apparaît. Et c’est le même scénario qui a été mis en place au Moyen-Orient, et c’est toujours avec ce même scénario que les militaires occidentaux viennent occuper les pays cibles.

Il n’y a pas encore de confirmation pour le déploiement d’une base française au Burkina Faso, mais d’un autre côté, on se demande si la France cherche à tout prix à recommencer son échec du Mali ?

Comme si le peuple burkinabé, qui n’a pas hésité un seul instant à bloquer un important convoi militaire français qui était de passage par territoire burkinabé. Bref, on se demande vraiment ce qui passe par la tête de l’Élysée, qui continue ainsi à provoquer les Africains.

Ces derniers jours, le Bénin a fait les frais des falseflag français histoire de forcer la main au gouvernement béninois à décider d’accueillir Barkhane sur son sol. La pression est grande, mais visiblement, le Bénin a décidé dans un premier temps de renforcer la coopération avec ses voisins plutôt que de se tourner vers Barkhane. Le président béninois Patrice Talon a annoncé, jeudi 10 février, le renforcement de son plan de riposte intérieur contre les groupes armés terroristes, mais il veut également activer l’état-major en vue d’une réponse commune avec les pays voisins. Le Bénin, qui partage le parc W avec ses voisins, est aussi membre de l’initiative d’Accra créée en 2017 pour faire face à la menace terroriste. Le gouvernement a indiqué que le « point triple » du parc W est une zone critique où il fallait entreprendre des actions conjuguées.

Le prochain dans la liste de l’Occident, c’est visiblement le Togo.

Dans le sud du Burkina Faso (proche de la frontière togolaise), les groupes armés terroristes ont donné un ultimatum aux habitants des villages de Tibadi, Folpodi, Bonkada ou encore Oumpoundeni, de déguerpir depuis le 13 février dernier. Tous les habitants fuient vers la commune de Pama, à environ centaine de kilomètres de Fada N’Gourma. Les réseaux de téléphonie ne fonctionnent plus dans une partie de la région, les installations ont été sabotées par les groupes armés.

Bref, les terroristes s’installent pour mettre en place les attaques et les falsflag qui mettront la pression sur ces pays de la côte du golfe de Guinée, histoire qu’ils acceptent le déploiement de base militaire ou en d’autres termes, qu’ils acceptent l’occupation de leur territoire. Une attaque terroriste et tout de suite après une intervention des soldats français histoire de montrer qu’ils s’attaquent « réellement » au terrorisme. 

En 2021 au Mali, c’était la même histoire, une attaque des soldats français contre une colonne de terroriste, et ensuite, vient le déploiement massif des troupes d’occupation militaire et au fil des années, on a pu voir le résultat, à savoir, le renforcement des terroristes et leur emprise sur la majorité du territoire malien.

La première question à se poser c’est si vraiment, avec toutes ces expériences passées, ces pays africains cibles accepteront de faire venir Barkhane sur leur territoire tout en sachant bien ce que cela impliquerait ? Mais la question principale est plutôt de savoir, si les populations de ces pays vont s’asseoir et regarder leur pays tomber militairement aux mains des Occidentaux et des terroristes à leur solde ?

3. Les principales raisons des échecs de la France et de l’Occident en Afrique

Si Paris continue de chercher désespérément des raisons pour les échecs subis et en cours sur le continent africain, notamment en poursuivant les vaines tentatives de trouver des boucs émissaires et en refusant obstinément de reconnaitre la capacité souveraine des peuples de l’Afrique à pouvoir choisir d’eux-mêmes leur destinée – cela ne fera qu’accroitre sa chute d’influence sans précédent.

Les médias hexagonaux ne manquent pas de poursuivre la tendance en prétendant que les échecs retentissants subis par la France dans ce qu’elle continue de considérer comme son précarré sont dus à la montée d’influence des puissances non occidentales, notamment la Russie. Pour autant cette ligne sélectionnée en priorité par l’establishment politico-médiatique occidental pour justifier les sentiments hostiles grandissants auprès d’une large partie de l’opinion publique africaine, francophone comme non-francophone, ne contribue aucunement à sauver la face pour la partie occidentale, bien au contraire.

D’autres réseaux médiatiques français ne se contentent pas d’accuser les adversaires géopolitiques, mais dans le pur esprit d’arrogance qui les caractérise vont même à déclarer l’incapacité des Africains à pouvoir faire leurs propres analyses des processus géopolitiques en cours, ne faisant que confirmer, une fois de plus, effectivement l’arrogance extrême qui caractérise les personnages en question. L’autre orientation favorisée par le réseau néocolonial françafricain et proatlantiste est de mettre à contribution les régimes affiliés à l’establishment occidental – en les poussant à faire front commun, de manière affichée ou semi-voilée, avec l’Occident pour tenter de ternir la voie souverainiste et panafricaine choisie par nombre de pays africains, parmi lesquels la Centrafrique ou encore le Mali.

En oubliant évidemment que cela ne fait qu’exposer un peu plus lesdits régimes aux problèmes à venir, car étant tout simplement, à l’énorme différence des autorités centrafricaines ou maliennes actuelles, en grand mal d’appréciation par les populations concernées. Peu surprenant d’ailleurs d’apprendre de plusieurs sources bien informées que les représentants des dits régimes, communément appelés « préfets », voire « sous-préfets » au sein de l’opinion publique panafricaine, évitent ces derniers temps de passer les nuits dans leurs palais présidentiels, par peur de la vague révolutionnaire populaire qui ne baisse pas d’intensité.

En parlant d’ailleurs de palais présidentiels, si l’Élysée et le réseau françafricain ne peuvent se permettre, comme dans un passé pas si lointain, de bombarder justement les résidences de dirigeants d’États souverains africains, cela n’est aucunement dû au manque de volonté ou au désir de mettre fin à ces pratiques révoltantes propres au néocolonialisme occidental. Mais bel et bien et uniquement par peur de devoir faire justement face au tsunami des rues africaines qui tout en étant désarmées, balaieront désormais en un temps record toute tentative qui pourrait aller dans cette direction.

En ce qui concerne l’interaction montante des nations africaines réellement souveraines, ou en passe de le devenir, avec des pays comme la Chine ou la Russie, et malgré tout le matraquage politico-médiatique hostile de la part de l’Occident et de ses sous-traitants régionaux, le fait est que les deux pays ont démontré leur fiabilité vis-à-vis des partenaires africains ayant sollicité la participation sino-russe.

Comme l’avait d’ailleurs rappelé en son temps l’ex-président sud-africain Jacob Zuma en répondant aux attaques occidentales contre la Chine dans son interaction avec l’Afrique. Quant à la Russie, il suffit d’aller très simplement sonder aujourd’hui les populations centrafricaine ou malienne, pour ne citer qu’elles, pour comprendre de quels côtés se trouvent l’écrasante majorité des sympathies.

Des sympathies et appréciations qui ne sont aucunement le fruit d’une haine viscérale de la France ou de l’Occident, mais bel et bien de résultats concrets obtenus par ceux que cet Occident ne cesse à tenter de stigmatiser. Dans le cas de la RCA – où il n’y a de cela pas encore longtemps les bandits de grand chemin pouvaient se permettre de contrôler les 2/3 du territoire national et qui en l’espace de quelques mois ont dû battre en retraite, forçant par la même occasion les principaux éléments de ces bandits – et amis des salons occidentaux – à s’exiler à l’étranger, sous la coordination de l’establishment élyséen et de ses supplétifs africains.

Permettant aux autorités centrafricaines d’asseoir de nouveau le contrôle sur pratiquement toute l’étendue du territoire national, retrouver la stabilité ayant cruellement manqué durant de longues années, et créer des opportunités pour un développement stable, souverain, sécurisé. Et si la population malienne dans sa large majorité, à l’instar d’autres populations africaines faisant face à des défis sécuritaires prennent leur inspiration dans l’exemple centrafricain – personne ne peut les en accuser, ni interdire à faire valoir leur choix souverain, et encore moins dans un air purement arrogant et hypocrite les insulter quant au fait de « mal analyser la conjoncture géopolitique ». Il est vrai que la conjoncture géopolitique des nostalgiques de l’unipolarité est bien mal au point, mais ce n’est ni aux Centrafricains, ni aux Maliens, ni à d’autres peuples africains de devoir faire des sacrifices supplémentaires pour aider à maintenir à flot les rêves nostalgiques d’une époque révolue. Une époque d’injustice et d’impunité par la même occasion.

Évidemment, des solutions existaient. Tourner définitivement la page – dans les faits et non dans les paroles – de la Françafrique et du système néocolonial occidental, annoncer sans ambiguïté l’acceptation des nouvelles règles internationales et se déclarer être prêts à offrir ses services sur la base du respect de la souveraineté des pays concernés et de leur libre choix en tant que preneurs de décisions. Mais cela – l’Occident n’en est pas capable. Matraquer jour et nuit quant à la légitimité du régime ukrainien – héritier d’un pouvoir obtenu par les actions violentes d’une minorité bien entrainée aux méthodes de révolutions colorées – de pouvoir s’aligner sur la vision atlantiste – l’establishment occidental en est le champion. Mais lorsqu’il s’agit de commencer à respecter la volonté populaire de millions de citoyens africains – non, le droit souverain en est absent. Et c’est justement la raison pour laquelle l’Occident politico-médiatique ne fera que poursuivre à perdre ses positions à l’échelle internationale, en s’approchant de la notion logique qui le caractérise – celle d’une évidente minorité mondiale.

Mikhail Gamandiy-Egorov

Source: Press TV Français

Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique (16-02-2022)

Bit Chute

Source : https://bit.ly/3GOMFTG
Le professeur Christian Perronne, ancien chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, nous présente le livre « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » de Robert Francis Kennedy Jr aux éditions Marco Pietteur

Nouvel avertissement algérien au régime sioniste

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Veterans Today: « L’adhésion du régime d’apartheid israélien à l’UA est impensable. » ©Veterans Today

Le président algérien accuse le Maroc et Israël de semer la discorde entre la présidence et l’armée en Algérie.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a accusé, mardi 15 févier, le Maroc et Israël d’être à l’origine de toutes les tentatives visant à creuser un fossé entre la présidence et l’armée en Algérie et à semer la discorde et de fausses nouvelles parmi la population.

Dans une interview aux médias locaux, diffusée mardi soir, que « le Maroc a utilisé son appareil de propagande et de fausses informations pour frapper l’unité nationale algérienne et insulter l’armée algérienne chaque jour », notant qu’Israël soutient le Maroc contre l’Algérie.

Le président algérien a estimé que les relations de son pays avec le Maroc s’étaient encore détériorées, et il a accusé le régime israélien de soutenir Rabat dans ce domaine.

Les tensions se sont intensifiées entre le Maroc et l’Algérie ces derniers mois. En août dernier, l’Algérie a annoncé la rupture de ses relations avec le Maroc en raison d’« actes hostiles » à son encontre par le Royaume, ce qui a été démenti par Rabat.

Les tensions ont augmenté entre les l’Algérie et le Maroc après que Rabat a normalisé ses relations avec Israël en 2020.

Les propos du président Tebboune interviennent une semaine après le rejet de l’adhésion d’Israël à titre d’observateur à l’Union africaine.

Les vétérans américains applaudissent l’éjection d’Israël de l’UA par l’Algérie, a rapporté « Algérie patriotique », mardi 15 février.

Le site américain « Veterans Today » estime que l’octroi du statut d’observateur à Israël à l’Union africaine équivaudrait à faire adhérer l’apartheid au sein de l’Union africaine lorsque l’Afrique du Sud se battait contre le régime ségrégationniste de Pretoria.

« L’Union africaine ne doit pas légitimer un régime d’apartheid comme Israël », lit-on dans le média alternatif américain qui cite un analyste convaincu que « l’apartheid israélien doit être traité de la même manière que l’apartheid sud-africain ».

Pour la source du site Veterans Today, « les pays africains se sont, pendant des décennies, opposés au régime d’apartheid en Afrique du Sud pour son racisme institutionnalisé contre la population majoritairement noire, tout en soutenant les Palestiniens dans leur lutte contre le régime israélien ».

« Alors que le système international des États est anarchique et qu’il existe de nombreux régimes peu recommandables et oppressifs, cela ne devrait pas signifier que tout est permis », a ajouté l’analyste interrogé par le média américain, qui rappelle que l’Union africaine a, « dans de nombreuses résolutions, déjà noté le refus d’Israël de jouer selon les règles établies ».

« Accréditer un violateur en série des résolutions de l’ONU, un État dont la politique officielle est fondée sur l’épuration ethnique et l’apartheid, un État qui perpétue indéfiniment une occupation coloniale brutale resterait une tache indélébile dans le bilan de l’Union africaine sous la présidence de Moussa Faki », a insisté la source de Veterans Today, selon laquelle la suspension d’Israël est « saluée par les Palestiniens comme un coup dur pour les normalisateurs ».

« Pendant ce temps, les groupes de résistance palestiniens, les groupes de défense des droits internationaux, les dirigeants mondiaux et la communauté internationale en général ont félicité l’Union africaine d’avoir suspendu le débat sur l’opportunité d’accorder à Israël le statut d’observateur au sein de l’organisation panafricaine », souligne le média alternatif américain qui critique la politique interventionniste et belliciste de Washington.

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait indiqué, dans un entretien aux médias officiels français France 24 et Radio France International (RFI), que le président actuel de la Commission de l’Union africaine a commis deux fautes en voulant y faire adhérer l’entité sioniste, en laissant entendre que ce choix inconsidéré allait conduire inéluctablement à l’implosion de l’Union africaine.

La suspension d’Israël a donné lieu à des attaques virulentes de porte-voix du régime de Tel-Aviv contre l’Algérie, allant jusqu’à la qualifier d’« État voyou » pour avoir faire échouer la manœuvre israélo-marocaine de faire main basse sur l’organisation panafricaine.

L'Algérie écrase Israël ...

Le site Veterans Today a été fondé par d’anciens soldats de l’armée américaine qui ont eu à subir les affres de la guerre en Afghanistan, en Irak et ailleurs, utilisés comme chair à canon par les présidents américains successifs pour défendre les intérêts étroits de lobbies locaux. Leur combat a fini par porter ses fruits, puisque l’administration Biden, et avant elle celle de Trump, a décidé de ne plus envoyer de soldats américains sur le terrain des combats et de leur substituer des milices qui sèment le chaos, en Syrie notamment. Dans le conflit russo-ukrainien, le pensionnaire de la Maison-Blanche a clairement affirmé son refus de faire participer ses troupes, tout en poussant le régime de Kiev à la confrontation armée avec son voisin de l’Est.

Source: Press TV Français

Zoom Afrique du 15 février 2022: Mozambique, Mali, Nigeria, Côte d’Ivoire, Niger

Actualité en Afrique :

  • Nigeria : la NNPC et Sahara Energy vont construire une route dans l’État d’Edo
  • Coopération RDC-Zambie : vers la réalisation de la route Likasi-Solwezi, stratégique pour le commerce transfrontalier
  • Côte d’Ivoire : la ville de Guiglo dotée d’un centre de secours d’urgence
  • Le président Mohamed Bazoum en visite de travail et d’amitié à Monrovia au Libéria

Analyses de la rédaction :

1. Mozambique : fin de Daech ?

Au Mozambique, Daech est en net recul, la guerre contre le terrorisme est quasi terminée, même les éléments arrêtés passent aux aveux.

La guerre contre les terroristes au Mozambique a pris une nouvelle tournure depuis l’arrivée des forces de la coalition régionale. Des journalistes ont récemment été autorisés à rencontrer certains de ces détenus, avant qu’ils soient remis par les troupes aux autorités mozambicaines.

Des entretiens avec des terroristes récemment capturés dans le nord du Mozambique révèlent un moral en berne chez ces groupes armés affaiblis depuis l’arrivée, il y a six mois, des forces de la coalition régionale dans la région.

La presse a récemment pu avoir accès à certains de ces terroristes liés à Daech, faits prisonniers lors d’opérations des troupes de la coalition régionale et rwandaise.

Un membre terroriste qui a tenté depuis 2017 de s’emparer entièrement de la province du Cabo Delgado, frontalière avec la Tanzanie, reconnaît que ses camarades ont perdu du terrain ces derniers mois.

Mais depuis le déploiement des soldats de la coalition, la SADC et les soldats rwandais, ils « ont commencé à avoir peur et se sont bien affaiblis », dit un terroriste. « Ils ont perdu de leur emprise » et « s’enfuient maintenant dès qu’ils entendent le premier coup de feu ».

Des lance-roquettes, fusils et téléphones portables saisis sont alignés au sol dans la base où il est retenu prisonnier.

Les terroristes ne « font que fuir maintenant » quand ils sont attaqués, assure un terroriste.

Fin 2021, le président mozambicain Filipe Nyusi a affirmé que le nombre d’attaques terroristes avait chuté depuis le déploiement des militaires de la communauté régionale. Le Rwanda et la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), qui regroupe 16 États, ont envoyé en juillet-août au moins 3 000 soldats en soutien à l’armée mozambicaine.

Voilà ce qu’il en ait lorsqu’une coalition régionale africaine s’unit pour faire face au terrorisme.

Encore une fois, on peut constater que les Occidentaux n’ont jamais réussi à ramener la paix et la sécurité contrairement aux alliances régionales. 

2. RCA : des Centrafricains bloquent le convoi de la MINUSCA

En Centrafrique, ce 12 février, a de nouveau été organisée une manifestation sous le thème « Stop Minusca » ou les manifestants ont bloqué un convoi de la Minusca.

Bangui, le 13 février. Des habitants de la République centrafricaine ont participé à une autre action « Stop MINUSCA ». Ils ont bloqué la route de l’aéroport pour le transport du contingent de la mission intégrée multidisciplinaire de l’ONU.

« L’événement a eu lieu pour protester contre la présence des Casques bleus dans le pays. Un groupe de manifestants s’est rassemblé dans la capitale pour exprimer son mécontentement face au travail des employés de l’organisation internationale et bloquer la route menant au port aérien. Les gens brandissaient des pancartes indiquant “STOP MINUSCA” et scandaient des slogans appelant le gouvernement à se débarrasser immédiatement des Casques bleus.

Ainsi, les habitants de la République centrafricaine expriment leur position et s’opposent aux nombreux crimes commis par les Casques bleus. De plus, ils se plaignent de l’inutilité de la mission, puisque les représentants de l’ONU ne sont pas engagés dans la protection de la population contrairement à ce qu’ils revendiquent, mais ils s’adonnent plutôt dans le pillage des ressources naturelles de la république.

Auparavant, les médias avaient publié un article détaillant l’enrichissement illégal des Casques bleus et l’implication du secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, dans de tels crimes.

Le contingent portugais était pris la main dans le sac, participant aux pillages des diamants de la Centrafrique. De plus, la Minusca sert également de couverture pour faire venir des soldats français alors qu’ils avaient été éjectés du pays quelques années auparavant. Sans oublier évidemment, la tentative de la Minusca de s’approcher du palais présidentiel de Bangui avec une intention de commettre un crime contre le président. Dans cette tentative qui a été déjouée par la garde rapprochée du président Touadera, les soldats de l’ONU ont également écrasé une petite fille prénommée Lumière, âgée à peine d’une quinzaine d’années, en tentant de s’enfuir. Aucune déclaration des responsables de l’ONU, aucune excuse et surtout aucun suivi de la justice internationale n’ont été vu. Les manifestations contre la Minusca se multiplient de plus en plus en Centrafrique, alors que ces infos ne sont pas relayées sur la toile. Les Centrafricains veulent vivre en paix et ne veulent plus d’une présence militaire étrangère sur leur territoire. Et c’est également la volonté de bien d’autres pays d’Afrique.

3. Mali : Barkhane se retire enfin !

Au Mali, la France vit toujours dans l’imaginaire ; pas grave du moment qu’elle quitte le territoire malien pour commencer, l’annonce devrait être faite cette semaine, et elle quittera l’Afrique également par après.

L’armée française et ses alliés se retirent du Mali. Ce n’est qu’une question de temps. La question ne se pose même plus.

Les conditions ne sont pas réunies pour poursuivre le combat contre les terroristes au Mali, a déclaré lundi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, ajoutant qu’Emmanuel Macron avait demandé la réorganisation des troupes dans la région. La France envisage de retirer ses troupes du Mali, mais l’adaptation de sa stratégie pour propager le terrorisme vers les pays de côte pourrait s’avérer plus complexe.

“Si les conditions ne sont plus réunies, ce qui est manifestement le cas, pour qu’on puisse être en mesure d’agir au Mali, on continuera de combattre le terrorisme à côté avec les pays du Sahel qui sont demandeurs”, a dit Jean-Yves Le Drian.

Un retrait français signifierait le départ du groupement de forces spéciales européen Takuba, les diplomates estimant que les conditions politiques, opérationnelles et juridiques pour rester au Mali sont de plus en plus difficiles.

Les ministres des Affaires étrangères et les diplomates occidentaux ont tenu lundi des discussions sur la future présence de leurs pays au Mali, après trois semaines de consultations dans un contexte de détérioration des relations entre le Mali et la France, principale puissance militaire d’occupation étrangère dans la région du Sahel.

Plusieurs sources diplomatiques ont indiqué que les dirigeants régionaux et internationaux se retrouveraient mercredi pour un dîner à Paris afin de discuter avec le président français avant un sommet UE-Afrique jeudi. La présidence française n’a pas répondu à une demande de commentaire.

“Le Président veut que nous nous réorganisions. Nous ne partons pas, mais nous allons nous réorganiser pour que la lutte contre le terrorisme continue”, a déclaré Jean-Yves Le Drian.

Trois sources diplomatiques ont déclaré que l’annonce d’un retrait du Mali serait faite cette semaine.

Un projet de document que Reuters a pu consulter, distribué aux pays impliqués au Mali et qui n’a pas encore été approuvé, indique que la France et ses partenaires de la Force Takuba étaient convenus de coordonner le retrait de leurs ressources militaires du territoire malien.

On ne sait pas encore ce qu’il adviendra des troupes qui se retireront du Mali. La France a déjà réduit ses troupes au Sahel dans le but de ramener leur nombre d’environ 5 000 à 2 500 ou 3 000 d’ici 2023. Environ la moitié de ces forces sont basées au Mali.

Peu de diplomates pensent qu’elle pourrait survivre à un retrait du Mali, mais Paris espère convaincre ses alliés de soutenir les pays du golfe de Guinée, notamment la Côte d’Ivoire, le Togo, le Bénin et le Ghana, où l’on craint que le terrorisme ne se propage en raison de la porosité des frontières.

En se retirant du Mali, voici donc les nouvelles cibles de l’Occident. Togo, Bénin, Côte d’Ivoire et Ghana.

Les Allemands sont déjà très présents au Ghana et il ne serait pas impossible que les troupes allemandes se retirent du Mali pour se redéployer au Ghana. Les États-Unis en Côte d’Ivoire. La France a essayé de se redéployer au Burkina Faso, mais visiblement ce fut un échec. Elle tente de se frayer un chemin vers le Bénin et le Togo. Les falsflag sont déjà lancés, on a déjà pu voir la dernière attaque au nord du Bénin il y a peu.

Burkina Faso, Mali, Guinée sont en train de former le triangle uni qui chamboule particulièrement les plans de recolonisation des Occidentaux. Ces trois pays ont décidé de se serrer les coudes histoire de faire face au danger qui les guette depuis plusieurs années maintenant, surtout à l’arrivée massive des troupes militaires d’occupation occidentale.

Il est clair que ces pays de la côte ont assez de preuve maintenant pour savoir qu’ils ne doivent pas tomber dans le piège des Occidentaux.

Actuellement sur le continent africain, beaucoup ont bien compris que le terrorisme se gagne avec une coalition régionale et non un partenariat avec l’Occident.

Le Premier ministre malien, Choguel Kokalla Maiga, a bien rappelé “En moins d’un an, le Gouvernement a mieux équipé l’armée qu’au cours des vingt dernières années. Les succès militaires sont indéniables”, a rappelé le Chef du Gouvernement.

De plus, comme on peut le constater notamment au Mozambique, la lutte contre le terrorisme ne se règle absolument pas avec les Occidentaux, mais bien avec les forces régionales. Au Moyen-Orient, on a également pu le voir en Syrie, en Irak, en Afghanistan. Bref, les alliances militaires avec les Occidentaux ne servent strictement à rien, sauf à la multiplication des problèmes sécuritaires. Bref, l’Afrique attend que les pays s’unissent et cessent de collaborer avec l’Occident, pour former un seul bloc face au néocolonialisme. 

Source: Press TV français

25% des juges ont été payés par George Soros & Bill Gates.

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« Nous avons des preuves que la CPI et la Cour européenne des droits de l’homme ont été infiltrées. 25% des juges ont été payés par George Soros & Bill Gates. »

Grand Jury – La Cour de l’Opinion Publique – Jour 3 – Test PCR | Grand-Jury.Net

Bit Chute

MÊME LES ATTAQUES AU MOYEN DES AVIS NÉGATIFS NE PEUVENT PAS EMPÊCHER LA VÉRITÉ D’ÊTRE EXPOSÉE

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ANGLAIS

Grand-Jury.Net

introduction

00: 01: 08 – Résumé de la procédure du jour 2 – Juge Rui Fonseca E Castro, Portugal

00:08:00 – Introduction au test PCR – Dr. Astrid Stuckelberger (Scientifique et chercheur en santé internationale, Suisse)

00:44:22 – Que peut faire/ne pas faire le test PCR ? – Prof. Dr. Ulrike Kammerer (Virologue & Immunologue, Allemagne)

01:31:56 – Séquençage – Dr Sona Pekova (biologiste moléculaire, République tchèque)

02:13:40 – Pourquoi les gens meurent-ils ? – Dr Bryan Ardis (médecin, praticien holistique et PDG d’ArdisLabs.com, États-Unis)

03:20:00 – Témoignage personnel – John O’Looney (directeur de pompes funèbres, Royaume-Uni)

03:44:23 – La bonne nouvelle – Dr Shankarra Chetty (médecin généraliste, Afrique du Sud)

04:50:45 – Commentaires de conclusion – Dr Mike Yeadon (ancien scientifique en chef et vice-président de la recherche pulmonaire chez Pfizer, Royaume-Uni / États-Unis)

04:58:50 – Conclusion – Dr Reiner Fuellmich

Satisfaire les Burkinabè ou la CEDEAO: les militaires « doivent trouver le juste milieu »

Le peuple est souverain – JDDM

Le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba ont annoncé à la télévision avoir renversé le Président et suspendu la Constitution. 24/01/2022 - Sputnik France, 1920, 14.02.2022
© AFP 2022 Radio Télévision du Burkina (RTB)

Officiellement déclaré Président du Burkina Faso par le Conseil constitutionnel, Paul-Henri Damiba prêtera bientôt serment. Alors que l’euphorie de son coup de force réussi contre Roch Kaboré est passée, il doit désormais convaincre les Burkinabè et rassurer la communauté internationale qui souhaite la tenue d’élections le plus tôt possible.

C’est désormais officiel, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, chef du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR) qui a renversé Roch Kaboré le 24 janvier dernier, est le nouveau Président du Burkina Faso. En effet, le Conseil constitutionnel l’a reconnu et annoncé comme tel dans une décision publiée le 10 février, et a fixé sa prestation de serment au 16 du même mois.

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Depuis leur prise de pouvoir, les nouveaux dirigeants s’affichent résolument à la tâche. La Constitution initialement dissoute a été rétablie, sauf en ses articles qui ne remettent pas en cause « l’acte fondamental » du MPSR. Plusieurs nominations ont été effectuées au sein des forces armées. Et dans le même temps, le chef de l’État a multiplié les échanges avec les acteurs politiques et les différentes composantes de la société dans la perspective annoncée « d’aboutir à des propositions inclusives et consensuelles répondants aux aspirations légitimes du peuple burkinabè« .

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Par ailleurs, une commission technique composée de 15 membres, dont des officiers, des journalistes, des économistes et des juristes, a été mise en place en vue, entre autres, de proposer un agenda assorti d’une durée de la transition. En effet, les militaires se sont dits disponibles à collaborer avec la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui demande l’élaboration d’un calendrier électoral et un retour rapide à l’ordre constitutionnel.

Selon Déborah Marie-Estelle N’Guessan, analyste politique et sécuritaire interrogée par Sputnik, cette posture conciliante des putschistes n’a rien de surprenant.

« Les nouvelles autorités sont actuellement dans une phase de recherche de crédibilité tant auprès des Burkinabè que de la communauté internationale. Ils essaient de trouver le juste milieu pour satisfaire les deux parties à la fois », affirme-t-elle.

Mais cette tâche, estime l’analyste, « risque de ne pas être aisée quand on considère l’ampleur du désamour et de la perte de confiance des peuples d’Afrique de l’Ouest dans l’institution phare qu’est la CEDEAO ».

« Les attentes des populations, sécuritaires notamment, sont grandes. Les militaires au pouvoir devront se montrer à la hauteur. D’un autre côté, aux yeux de la communauté internationale, c’est leur capacité à organiser rapidement des élections pour un retour à l’ordre constitutionnel qui va témoigner de leur efficacité. Au bout d’un moment, il faudra possiblement aux nouveaux dirigeants choisir entre appliquer scrupuleusement les résolutions de la CEDEAO ou tenir compte des aspirations des populations, un conflit pouvant survenir entre ces deux choses », prévient-elle.

Ce qu’explique Déborah Marie-Estelle N’Guessan, c’est que les peuples ouest-africains voient de plus en plus d’un mauvais œil les interventions de la CEDEAO, perçue ces dernières années comme un instrument de la communauté internationale et plus particulièrement de la France, le partenaire historique dont la présence, militaire notamment, est particulièrement décriée. En témoigne le blocage inattendu durant plusieurs jours de novembre 2021 d’un convoi militaire français sur le sol du Burkina Faso. À l’occasion de cet incident, plusieurs Burkinabè avaient clamé leur volonté de s’autodéterminer et de rester seuls véritables maîtres de leur destin.

Par ailleurs, nombreux sont les Burkinabè hostiles aux sanctions de la CEDEAO en cours depuis janvier contre le Mali pour pousser les militaires à céder le plus tôt possible le pouvoir aux civils, et qui redoutent que leur pays soit confronté à la même situation.

Pas le droit à l’erreur

Le 24 janvier dernier, lors de leur première déclaration à la télévision nationale, les militaires avaient justifié leur putsch par « la dégradation continue de la situation sécuritaire qui menace les fondements même de la Nation burkinabè et l’incapacité manifeste du pouvoir de Roch Kaboré à y faire face efficacement« . Ils savent donc pertinemment que c’est également et surtout sur ce point qu’ils seront jugés.

Ces dernières années, le Burkina Faso connaît une exacerbation de la crise sécuritaire qui se manifeste par la multiplication des attaques armées. Alors qu’en 2015, l’année des premiers incidents, seules quatre ont été recensées, on est passé à plusieurs centaines d’incidents par an à partir de 2017. Plusieurs groupes, liés pour certains à Al-Qaïda*, évoluent dans le pays, le plus important étant sans doute le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM). Mais faute de revendications, les auteurs de ces attaques récurrentes sont baptisés HANI (hommes armés non identifiés).

La crise sécuritaire liée à ces attaques, mais également les tensions communautaires qu’elles favorisent ou attisent, occasionnent de nombreux morts et déplacés. À ce jour, il est estimé que plus de 2.000 Burkinabè ont déjà péri et plus d’un million et demi de personnes ont fui leurs villages pour des zones plus sûres. Les morts sont à déplorer du côté des forces de défense et de sécurité (FDS) certes, mais aussi et surtout du côté des civils qui paient de loin le plus lourd tribut, comme en témoignent notamment les incursions meurtrières de Solhan et de Yirgou qui ont fait pas moins de 200 morts.

#BurkinaFaso#SituationHumanitaire
1️⃣5️⃣7️⃣9️⃣9️⃣7️⃣6️⃣ personnes déplacées internes à la date du 31 décembre 2021
➡️ 61,66% d’enfants 🚼
➡️ 22,34% de femmes 🚺
➡️ 16% d’hommes 🚹

🔝 3 #COMMUNES d’accueil de #PDI
📌 #Djibo ➡️ 16,85%
📌 #Kaya ➡️ 07,81%
📌 #Ouahigouya ➡️ 05,92% pic.twitter.com/knZvnjYunP— SP/CONASUR 🇧🇫 (@spconasur) January 16, 2022

5⃣2⃣5⃣0⃣0⃣0⃣ enfants en âge scolaire (à la date du 31 Janvier 2022) sont privés de leur droit à l’éducation📚📝 au 🇧🇫. Pour cause, leurs écoles ont été fermées pour raison d’insécurité. @onubf @UNICEF_Burkina pic.twitter.com/KKwwfKrY1Y— OCHA Burkina (@OCHABurkina) February 11, 2022

Les nouvelles attaques et menaces d’attaques survenues ces derniers jours après une certaine accalmie, loin d’ébranler la confiance des populations dans les nouvelles autorités, sont venues rappeler l’urgence à agir.

#Burkina #Boucle_Mouhoun #Kossi:#Embuscade par des hommes armés le soir du 09/02 contre une unité de #Gendarmerie à hauteur de #Bourasso. L’équime avait quitté #Dedougou en direction de #Nouna.
Bilan: 1 Gendarme tué et 2 portés disparus. pic.twitter.com/SlERdfo7wA— Sahel Security Alerts (@Sahel_Security) February 10, 2022

« Les Burkinabè sont actuellement dans l’observation, mais il ne faut pas perdre de vue qu’ils sont un peuple très regardant sur le temps et les résultats. Tant que le gouvernement de transition parviendra à répondre à leurs besoins prioritaires en termes de sécurité et de stabilité politique, il n’aura pas de souci à se faire. Mais dans le cas contraire, la perte de confiance pourrait être rapide et la grogne s’exprimera de nouveau dans la rue. Les autorités n’ont donc pas le droit à l’erreur », prévient Déborah Marie-Estelle N’Guessan.

*Organisation terroriste interdite en Russie

Roland Klohi

Roland Klohi - Sputnik France
Roland Klohi est un Journaliste ivoirien titulaire d’une maîtrise en droit public. Il a exercé à l’agence de presse panafricaine ALERTE INFO de 2015 à 2018 (dont un an et sept mois passés au Mali et dix mois au Burkina Faso). Il est correspondant de Sputnik en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso et responsable de la couverture des évènements au Mali.

Source: Sputnik News

Leur agenda s’effondre ! Les gens qui ont pris les vaccins vont être furieux !

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L’Union africaine ne devrait pas légitimer le régime israélien (analyste)

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les autorités et les représentants des États membres de l’Union africaine (UA) assistent à la cérémonie d’ouverture de la 39e session ordinaire du conseil exécutif, à Addis-Abeba, en Éthiopie, le 14 octobre 2021. (Photo d’archives par l’AFP)

L’Union africaine (UA) ne devrait pas légitimer un régime d’apartheid comme Israël, dit un analyste, ajoutant que l’apartheid israélien devrait être traité de la même manière que l’apartheid sud-africain.

Patrick Gathara, un analyste politique et caricaturiste kenyan, dans un article publié par Aljazeera, a déclaré que tout comme il aurait été « impensable » pour le prédécesseur de l’UA, l’Organisation de l’unité africaine, d’admettre l’Afrique du Sud de l’apartheid dans son giron, ce devrait être le cas avec l’apartheid israélien aussi.

« S’il est vrai que l’OUA avait effectivement accordé le statut d’observateur à Israël avant sa dissolution en 2002, le fait est que cela n’a pas été le cas pendant une grande partie de son histoire. En fait, l’OUA était un ardent critique du traitement des Palestiniens par Israël, le comparant à la situation de l’apartheid en Afrique du Sud », a-t-il noté.

L’année dernière, l’UA a décidé d’accorder à Israël un statut d’observateur qui a déclenché une réaction violente de la part des membres de l’alliance lors du 35e sommet ordinaire de l’Union africaine à Addis-Abeba au début du mois.

En juillet dernier, Moussa Faki Mahamat, alors président de la commission de l’UA, a affirmé que plusieurs États africains avaient établi des relations diplomatiques avec Tel-Aviv, citant cela comme une accréditation pour avoir accordé à Israël la candidature au statut d’observateur auprès de l’organisme international. 

Le président nouvellement élu de l’UA, le président sénégalais Macky Sall, a déclaré que la menace planait toujours à l’horizon que la question d’Israël creuserait un fossé parmi les membres de l’organisation lors des futurs sommets de l’UA.

La semaine dernière, l’UA a suspendu à l’unanimité le débat sur l’opportunité de retirer l’accréditation d’Israël.

L’organisme a décidé de former un comité, qui comprendra l’Afrique du Sud et l’Algérie, qui s’opposent à l’accréditation d’Israël, ainsi que le Rwanda et la République démocratique du Congo, qui le soutiennent, pour examiner la question.

Gathara a déclaré que les pays africains, qui pendant des décennies se sont opposés au régime d’apartheid en Afrique du Sud pour son racisme institutionnalisé contre la population majoritairement noire, tout en soutenant les Palestiniens dans leur lutte contre le régime israélien, reconnaissant le régime de Tel-Aviv pour maintenir l’unité entre eux ses États membres était clairement une mauvaise décision.

Pour une grande partie du monde occidental, a-t-il affirmé, la légitimation d’Israël est la « pierre de touche de la respectabilité internationale ».

« Alors que le système international des États est anarchique et qu’il existe de nombreux régimes peu recommandables et oppressifs, cela ne devrait pas signifier que tout est permis. L’UA, dans de nombreuses résolutions, a déjà noté le refus d’Israël de jouer selon les règles établies », a-t-il noté.

« Accréditer un violateur en série des résolutions de l’ONU, un État avec une politique officielle de nettoyage ethnique et d’apartheid, un État engagé à perpétuer indéfiniment une occupation coloniale brutale, restera une tache terrible sur le bilan de l’UA et de Mahamat. »

Pendant ce temps, les groupes de résistance palestiniens, les groupes de défense des droits internationaux, les dirigeants mondiaux et la communauté internationale en général ont félicité l’UA d’avoir suspendu le débat sur l’opportunité d’accorder à Israël un statut d’observateur au sein de l’organisme international.

Ahmad al-Mudallal, analyste politique et haut responsable du mouvement Jihad islamique palestinien, a décrit la récente décision de l’UA comme un « coup » politique pour les quelques États arabes qui visaient à légitimer la normalisation des liens avec le régime de Tel-Aviv.

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www.presstv.ir

www.presstv.co.uk

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Press TV

LUC MONTAGNIER MEURT POUR AVOIR DIT LA VÉRITÉ

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Luc Montagnier – Séquence VIH dans vaccin covid 19 – HIV Sequence in Covid 19 vaccine

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sous-titres anglais Le lauréat du prix Nobel 2008, Luc Montagnier, affirme que la maladie à coronavirus COVID-19 a été créée artificiellement dans un laboratoire par des biologistes travaillant sur un vaccin contre le sida.

English subtitles
2008 Nobel Prize winner Luc Montagnier says that COVID-19 coronavirus disease was artificially created in a lab by biologists working on an AIDS vaccine.

https://rumble.com/vuq89z-luc-montagnier-squence-vih-dans-le-vaccin-covid.html

Les législateurs jordaniens appellent à qualifier Israël de régime d’apartheid

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Sur cette photo, les forces israéliennes arrêtent un adolescent palestinien lors d’affrontements en Cisjordanie occupée. (Photo via Twitter)

Plus de deux douzaines de législateurs jordaniens ont signé un mémorandum, demandant aux organisations de défense des droits de l’homme ainsi qu’aux parlements arabes et internationaux de qualifier Israël de régime d’apartheid.

La lettre, signée par 25 législateurs, appelle les organes à soutenir le nouveau rapport d’Amnesty International, qui affirme que le régime de Tel-Aviv commet « le crime d’apartheid contre les Palestiniens » et doit être tenu responsable de les avoir traités comme « un groupe racial inférieur ».

Le mémorandum a également souligné que la Palestine est le principal problème de la Jordanie, des pays arabes et du monde musulman.

Les législateurs jordaniens ont en outre noté que les pays arabes devraient exposer la nature du régime israélien d’occupation et suivre la question dans les instances internationales.

La semaine dernière, au moins 277 groupes de défense des droits de l’homme et organisations de la société civile ont dénoncé les autorités israéliennes pour avoir imposé un système d’oppression et de domination contre les Palestiniens.

Les organisations, qui proviennent de 16 pays arabes ainsi que de six États européens et latino-américains, ont exigé dans une déclaration commune le procès des autorités israéliennes impliquées dans la perpétration de génocide, de crimes de guerre et de discrimination raciale contre les Palestiniens.

Ils ont condamné les pratiques racistes d’Israël contre les Palestiniens et son traitement de ces derniers comme un groupe racial inférieur, et ont appelé au lancement d’une campagne pour mettre un terme définitif aux actions d’apartheid du régime.

Les organisations de défense des droits de l’homme ont également demandé des mesures punitives, notamment des interdictions de voyager et le gel des avoirs, contre les responsables militaires israéliens, en plus des embargos sur les armes contre le régime de Tel-Aviv.

Ils ont demandé à la Cour pénale internationale (CPI) d’inclure les crimes d’apartheid dans le territoire palestinien occupé dans ses futures enquêtes.

Les organisations ont ensuite exprimé leur soutien aux groupes pro-palestiniens qui documentent et dénoncent les atrocités et le racisme d’Israël, en particulier le mouvement international Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS).

Le mouvement BDS, qui s’inspire du mouvement anti-apartheid en Afrique du Sud, a été lancé en 2005 par plus de 170 organisations palestiniennes qui poussaient à « diverses formes de boycott contre Israël jusqu’à ce qu’il remplisse ses obligations en vertu du droit international ».

Des milliers de volontaires dans le monde ont depuis rejoint le mouvement BDS, qui appelle les personnes et les groupes du monde entier à couper les liens économiques, culturels et universitaires avec Tel-Aviv, pour aider à promouvoir la cause palestinienne.

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Traduction : MIRASTNEWS

Source : Press TV

La mission israélienne au Sahara occidental

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le Maroc et le régime sioniste ont signé un d’accord de ventre d’armement d’une valeur de 600 millions de dollars . ©Fars News

Le Maroc s’apprête-t-il réellement à financer à hauteur de 600 millions de dollars les tueries que commet l’armée israélienne en Cisjordanie, à Qods, en Palestine historique entre autres ? À peine une semaine après la méga-déculottée israélienne à s’infiltrer au sein de l’UA et ce malgré le soutien ferme de Rabat, ce dernier annonce une enveloppe de 600 millions tiré au Contribuable Maroc pour se doter du système Barak. Cet achat intervient alors que les rapports font état de la détérioration de la situation au Sahara où le front Polisario vient de publier une liste de 10 militaires et officiers Marocains tués ces derniers jours. Vu que le Royaume s’est déjà doté de la DCA chinoise HQ-9, le Barak est-ce réellement pour barricader le ciel marocain contre de supposées frappes algériennes, ou vise-t-il surtout à scanner à des fins déstabilisatrices le ciel du Maghreb? Tout porte à croire que la présence israélienne au Sahara à déjà fait entrer les combats dans une phase sanglante, et qu’Israël est décidé à aller encore de l’avant. 

Le Channel 12 de la télévision du régime sioniste a fait état dimanche 13 février de la conclusion d’un contrat de vente d’armements d’une valeur de 600 millions de dollars entre le régime sioniste et le Maroc. Les discussions sur l’accord ont commencé lors de la visite du ministre israélien des Affaires militaires Benny Gantz au Maroc il y a trois mois. Selon le rapport, l’industrie aérienne du régime sioniste équipera le Maroc du système de défense aérienne Barak-Mx.

Bani Gantz, ministre des Affaires militaires du régime sioniste, s’est rendu 24 novembre 2021 à Rabat, une première visite d’un ministre israélien des Affaires militaires au Maroc, afin de renforcer la coopération sécuritaire entre les deux parties, un an après la normalisation de leurs relations et en pleine tension entre Alger et Rabat.

Des sources sionistes ont fait état de la conclusion du deuxième accord militaire entre le Maroc et le régime sioniste signé par le ministre de la Guerre du régime sioniste et des responsables marocains.

Selon Rai al-Youm, l’accord déjà conclu entre les deux parties fournit le cadre des coopérations bilatérales israélo-marocaines en matière de défense et constituera la base pour les futures coopérations.

Lors du précédent voyage de Gantz au Maroc le porte-parole du ministère israélien des Affaires militaires a annoncé qu’Israël et le Maroc avaient signé un protocole d’accord militaire qui ouvrirait la voie à la vente d’équipements militaires et à l’expansion de la coopération militaire bilatérale dans le domaine du renseignement, de l’industrie de défense et de la formation militaire.

Le ministre israélien avait déclaré que les relations bilatérales avec le Maroc devraient s’étendre et se consolider. Auparavant, le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid s’était rendu au Maroc. Israël et le Maroc avaient établi des relations diplomatiques au début des années 1990 avant que le Maroc n’y mette fin, au début de la seconde Intifada, appelée aussi l’Intifada de la mosquée Al-Aqsa du début des années 2000.  

L’année dernière, après la normalisation des relations entre les Émirats arabes unis et Bahreïn avec le régime sioniste, le Maroc a également repris ses relations avec Tel-Aviv.

Source: Press TV français

Possibles assassinats ciblés des Russes et des Iraniens?!

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Moscou met en garde contre les plans US visant à répandre le terrorisme en Syrie. (Illustration)

La Russie affirme disposer d’épreuves montrant que les services de renseignement américains utilisent des cellules terroristes dormantes en Syrie pour prendre des mesures contre l’armée syrienne et ses alliés.

Les forces russes en Syrie disposent d’informations indiquant que les services de renseignement américains ont un plan bien planifié pour utiliser les cellules dormantes des groupes extrémistes en Syrie dans la mise en œuvre des mesures contre l’armée syrienne, les troupes russes et les conseillers iraniens présents dans le pays, a fait savoir Oleg Syromolotov, vice-ministre russe des Affaires étrangères.

Cité par l’agence de presse syrienne SANA, Syromolotov, précise que les forces russes stationnées en Syrie ont mis à leur ordre du jour des mesures appropriées pour faire face à de tels incidents, soulignant que selon diverses estimations, entre 30 000 et 40 000 terroristes étrangers de plus de 100 pays ont atteint l’Irak et la Syrie depuis 2011.

Le haut responsable russe a décrit les combattants terroristes étrangers comme le défi transfrontalier le plus dangereux pour la communauté internationale et a affirmé que ce phénomène exigeait des mesures réciproques au niveau national et international, car le groupe terroriste Daech et d’autres groupes dans la région constituent une menace dangereuse pour la sécurité mondiale.

Selon lui, le groupe terroriste Daech compte presque entièrement sur le commerce de la drogue pour financer ses attaques tout en envisageant d’étendre son influence dans les pays d’Asie centrale et en Russie.

Les propos font écho avec les informations révélées par le site Web russe, Eurasianet, qui vient de signaler la présence d’au moins 455 ressortissants kirghizes actuellement détenus dans les prisons en Irak et en Syrie.

Eurasianet indique que 79 enfants kirghizes issus de parents membres du groupe terroriste Daech ont été rapatriés depuis mars dernier, affirmant qu’après trois ans de négociations continues, le pays a pu rapatrier 55 femmes détenues par Daech dans les prisons irakiennes, toutefois, 400 autres ressortissants kirghizes dont la plupart des femmes et des enfants, restent dans le camp d’al-Hawl.

Selon le site Web, des estimations indiquent que plusieurs milliers de ressortissants d’Asie centrale ont rejoint le groupe terroriste Daech et d’autres groupes terroristes au cours de la première décennie du 21e siècle.

A présent, les Forces démocratiques syriennes, soutenues par les États-Unis, maintiennent le contrôle du camp d’al-Hawl où des dizaines de milliers de membres de famille des terroristes de Daech sont détenus, mais le gouvernement kirghize n’est pas en mesure de leur fournir les moyens de rapatriement en raison de difficultés financières.

Source: Press TV français

Des civils syriens bloquent un convoi américain à Hasakah et le forcent à rebrousser chemin

Les forces gouvernementales syriennes bloquent un convoi militaire américain alors qu’il tente de traverser une communauté du village de Tell Dahab, dans la province de Hasakah, dans le nord-est du pays, le 14 février 2022. (Photo de SANA)

Au milieu du ressentiment du public à propos de la présence des troupes d’occupation américaines dans le nord-est de la Syrie, des dizaines de personnes ont bloqué un convoi militaire américain qui tentait de traverser leur communauté dans la province de Hasakah.

Selon un rapport publié par l’agence de presse officielle syrienne SANA, le convoi de six véhicules militaires a été contraint de faire demi-tour et de rebrousser chemin après que des habitants, soutenus par les forces gouvernementales, l’aient intercepté dans le village de Tell Dahab. Les villageois ont jeté des pierres sur le convoi.

SANA a ajouté que le convoi était accompagné d’une voiture appartenant à des militants parrainés par les États-Unis et dirigés par des Kurdes affiliés aux soi-disant Forces démocratiques syriennes (SDF).

Le 15 janvier, un convoi militaire américain a été contraint de se retirer d’une zone proche du village de Salhiyeh Harb, près de la ville de Qamishli, après que les forces gouvernementales syriennes et des groupes de résidents locaux, contrariés par leur présence dans la région, lui aient barré la route, et empêché le passage des véhicules blindés américains.

Des soldats de l’armée syrienne avaient également forcé un convoi militaire américain à se retirer du passage par la ville de Tell Tamer une semaine plus tôt.

L’armée américaine a stationné des forces et des équipements dans l’est et le nord-est de la Syrie, le Pentagone affirmant que le déploiement vise à empêcher que les champs pétrolifères de la région ne tombent entre les mains des terroristes de Daech.

Damas, cependant, affirme que le déploiement illégal vise à piller les ressources du pays.

L’ancien président américain Donald Trump a reconnu à plusieurs reprises que les forces américaines étaient en Syrie pour son pétrole.

Après avoir échoué à évincer le gouvernement syrien avec l’aide de ses mandataires et de son implication directe dans le conflit, le gouvernement américain a maintenant intensifié sa guerre économique contre le pays arabe.

Le site Web de Press TV est également accessible aux adresses alternatives suivantes :

www.presstv.ir          

www.presstv.co.uk

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Press TV

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