Fin du Pass Sanitaire en France : la Résistance et ses résultats, pour le meilleur ou pour le pire

Rédacteur en chef d’ER : La référence d’Eric Verhaeghe à la « caste » ci-dessous est, bien sûr, une référence à la classe politique française très puissante et aux élites derrière qui la paient. Nous soupçonnions que les Français (certains d’entre eux, en tout cas) trouveraient un moyen de contourner l’obligation de prendre le faux vaccin, mais nous ne réalisions pas à quel point une telle manœuvre d’évitement serait créative. Découvrez-le ci-dessous.
Nous sommes d’accord avec Verhaeghe, que la menace de « si nous réagissons trop fortement au gouvernement, ils nous imposeront la loi martiale » ou quelque chose du genre a été un stratagème réussi par les pouvoirs en place pour atténuer l’opposition à la tyrannie totale lancée sur la population sous la menace d’une nouvelle maladie relativement inoffensive (dont la véritable nature n’a pas encore été déterminée). Nous pensons également qu’il a raison de qualifier ce qui est arrivé à la population (de tous les pays, pas seulement de la France) pendant les absurdités de Covid comme une sorte d’occupation interne ou de prise de contrôle d’un pays de l’intérieur. Une «pandémie», ce n’était certainement pas.
Verhaeghe, comme il le souligne, bénéficie de sources privilégiées et est en mesure de faire la lumière sur certaines personnalités puissantes et de longue date de la politique française.
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Une mise à jour des informations de France Soir :
Le 1er août, à minuit, en vertu du projet de loi 156, amendé par le Sénat, mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie liée au covid-19, l’état d’urgence sanitaire prend fin et avec lui le pass sanitaire. Un régime exceptionnel qui a empêché des personnes de se déplacer pendant plusieurs mois sans se faire tester ni vacciner.
… pour tout le monde ?
De tous, les plus blessés ont sans doute été les soignants et personnels de santé, soumis à l’obligation de vaccination. Beaucoup d’entre eux ont également été suspendus, et n’ont perçu aucun salaire depuis le 15 septembre 2021.
L’article ci-dessous a été traduit automatiquement.
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Fin du pass santé : la résistance et ses résultats, pour le meilleur ou pour le pire
ÉRIC VERHAEGHE
Le laissez-passer sanitaire disparaît essentiellement aujourd’hui (ER: 1er août). C’est évidemment une grande victoire pour la Résistance, qui s’est mobilisée, parfois dans la douleur, pendant un an. Comme l’ont souligné des membres de la caste très agacés (voir tweet ci-dessous), la Résistance a finalement réussi à bloquer la folie covidiste, et à bousculer la ligne d’attaque adverse, très structurée et parfaitement financée. Mais la Résistance était-elle parfaitement efficace ? Je tente ici une évaluation contrastée de ce que nous avons réussi et de ce que nous avons raté.
Traduction : A regarder ⏭ Le replay des débats parlementaires de cette semaine sur le COVID 😳. Eclairant sur ce qui est en jeu pour le pays en ce moment 🏛. Antivax, un mouvement marginal ? Leurs idées ont pourtant remporté un premier tour hier à l’Assemblée… Y sommes-nous déjà 🤷🏻♀️ ?
Il me semble important de commencer cette analyse par un message envoyé par l’ancienne conseillère à la santé d’Emmanuel Macron, devenue numéro deux à la CNAM et accessoirement épouse du directeur de cabinet du Premier ministre. On ne peut, me semble-t-il, mieux illustrer le dépit de la caste vis-à-vis de la Résistance que dans ce message constatant l’inversion progressive des rapports de force sur la question du vaccin.
Ne boudons pas notre victoire
Dix-huit mois après le début de la campagne de vaccination, presque un an jour pour jour après l’annonce folle d’Emmanuel Macron sur le pass santé et sur les discriminations dont s’apprêtaient à faire l’objet les non-vaccinés, dans une démarche plus dure que le premier statut de les Juifs sous Vichy en 1940, le pouvoir recula donc. Après une rapide tentative de préservation du laissez-passer sanitaire, les rebondissements politiques du texte ont abouti à une mise en veilleuse définitive du laissez-passer lui-même.
Nous avons montré dans quelle opacité se déroulaient toutes ces opérations.
Quoi qu’il en soit, ne boudons pas notre plaisir.
La victoire que nous avons remportée est très similaire à la victoire des Corses dans l’Astérix éponyme : un ensemble de tribus désordonnées, parfois ennemies, ont accepté de s’unir pour combattre l’ennemi principal. Il faut ici rendre hommage à certains « villages » qui ont plus grillé que d’autres.
Citons d’abord les soignants suspendus (et quelques autres professions) qui ont payé de leur travail leur résistance à la bête, sous les quolibets d’une presse subventionnée et dans le silence total de leurs syndicats. Qu’ils soient maudits à jamais, ces organes aux ordres qui n’ont pas bougé le petit doigt pour défendre les droits les plus élémentaires de la personne humaine. L’histoire leur jouera un très mauvais tour : je l’espère et j’en suis convaincu.
Mais n’oublions pas ce qui me semble essentiel : tous ceux qui, jour après jour, ont résisté, passivement ou activement, aux règles draconiennes imposées par l’Occupation intérieure que nous subissons depuis que la caste a assumé sa haine de la démocratie. Je pense ici à ceux qui ont organisé des réseaux très puissants de salive contaminée permettant d’obtenir des laissez-passer sanitaires avec certificat de guérison sans torture nasale. Celles-ci ont permis à des milliers, peut-être des dizaines de milliers, de franchir clandestinement la ligne de démarcation symbolique que l’Occupation avait placée autour de nous.
Bravo à eux.
Et bravo à tous ces gens de l’ombre, hommes, femmes, jeunes, vieux, qui ont su coopérer pour atténuer ne serait-ce qu’un peu, parfois, la tyrannie sanitaire imposée par quelques usurpateurs qui squattent le pouvoir et sapent consciencieusement l’intérêt général.
Le double échec de la résistance
Faut-il se gargariser sans nuance en pensant à la gifle qu’on a infligée à tous ceux qui nous ont méprisés (et la liste est longue, et tenue à jour, qu’ils n’imaginent pas qu’on oubliera…) ?
Il me semble que la Résistance présentait deux points de faiblesse qui la privaient d’une victoire plus rapide. L’histoire nous permettra un jour de mieux analyser les ressorts cachés de ces pointes qui, à mon avis, n’ont pas encore livré tous leurs secrets, notamment ceux de la discrète implication macroniste dans leur déploiement.
Ces deux points ne sont pas la dispersion de la Résistance, comme j’ai beaucoup lu, mais plutôt (et je vais vous expliquer pourquoi) :
1° l’absence de maîtrise culturelle face à l’hégémonie de caste
2° l’absence de rapport de force politique face au verrouillage des institutions
Bien sûr, il s’agit d’une analyse personnelle que chacun utilisera comme il l’entend. Mais il a le mérite de s’appuyer sur des observations très informées et opérées « de l’intérieur », ce qui me semble être un point de vue irremplaçable pour comprendre ce qui s’est passé… ou ce qui ne s’est pas passé.
La question de l’hégémonie culturelle
Une faiblesse majeure, me semble-t-il, et peut-être la seule vraie faiblesse de la Résistance, est de ne pas avoir assumé son titre de « Résistant » (après un débat feutré mais réel) et d’être enfermé dans l’étiquette de « conspirateur » et « anti-vax », qui a fini par jouer comme une souricière.
C’était évidemment un scénario cousu de fil blanc pour amener tous les résistants dans la même « poche », dans le même ghetto, celui du complot. Je suis convaincu que ce classement a été conçu par des cabinets de conseil dès les premiers jours de l’épidémie de coronavirus, et qu’il a servi de tissu comme s’il s’agissait de velours.
Dès que Peter Daszak, le chercheur américain proche de la CIA, a signé un torchon dans The Lancet pour expliquer que toute contestation de l’origine animale de la COVID était complotiste, les sbires de la caste s’en sont donnés à cœur joie. Du coup, quinze ans de concentration dans la presse ont pris tout leur sens. Le cartel de la presse subventionnée enferme tous les résistants dans un ghetto dont ils ne peuvent plus s’échapper.
Lorsque le vaccin est apparu, le scénario s’est écrit comme du beurre pour forger l’équation évidente :
RÉSISTANT = COMPLOTISTE / CONSPIRATISTE = ANTI-VAX
Cet enchaînement posé, toute parole contraire à la propagande officielle était systématiquement engluée dans la colle de la « complosphère », qui la condamnait à la marginalité. Personne n’a jamais parlé de la résistance. Tout le monde parlait d’anti-vax, et là on a subi une défaite en rase campagne.
Discréditer le messager pour discréditer le message
La technique qui a été utilisée par la caste pour nous marginaliser est aussi vieille que le monde. Elle consiste à « discréditer le messager pour discréditer le message ». L’innovation consistait en deux points, à mon avis :
1° premier à utiliser des moyens globaux, dans des proportions inconnues jusqu’à présent, pour diffuser les éléments de langage qui ont bien marché dans la presse mondiale. J’ai fait allusion au RRM inventé par le G7 de 2018 (Au G7, Macron a officiellement accepté que la CIA organise la propagande occidentale en Europe – les navigateurs traduiront) pour mener une guerre idéologique. Pour l’instant, aucune preuve factuelle n’existe pour démontrer que la propagande mondialisée s’est propagée par ce canal du multilatéralisme occidental. Mais les soupçons sont nombreux.
2° industrialiser l’opposition contrôlée en finançant les médias d’opposition dominants qui sont chargés d’attirer les résistants dans la toile d’araignée inventée et théorisée par les cabinets de conseil. D’où cette floraison de soi-disant opposants (dont une partie était sincère) qui ont ou ont eu pignon sur rue, et dont le rôle principal a été de mener l’opposition aux miroirs d’alouettes.
Quand je parle d’opposition, je veux réitérer ma conviction que des contrats publics ont été signés avec des organismes comme Accenture ou McKinsey, ou d’autres, pour financer discrètement des mouvements d’opposition qui ont campé la Résistance à l’image de l’anti-vax, ce qui correspondait à les objectifs de la macronie. A travers ces marchés publics, des opposants, des associations, des organisations ont été secrètement financés par les autorités pour structurer la Résistance et la discréditer, n’épargnant ni leur temps ni leur peine pour identifier les plus virulents, constituer des fiches, identifier des opposants, des listings utiles sur « Jour J » en cas de dérive du système.
En survolant ces techniques de contrôle, je reste loin de la réalité possible, je le sais. Combien de pharmacies et de cabinets noirs ont été financés par l’industrie pharmaceutique pour discréditer les opposants, avec des messages meurtriers sur les réseaux sociaux ou des fact-checkings complaisants et trompeurs ?
Et là, je n’évoque même pas le rôle toxique du Conspiracy Watch, l’organe collaborationniste de Rudy Reichstag, qui ressemble en tous points à l’affaire Brasillach de 1944. Je n’évoque pas non plus le rôle étrange de certains anciens pensionnaires du système qui espèrent d’y retourner, et qui n’ont cessé de réclamer de manière très constante l’absence de politique anti-Macron depuis plusieurs mois.
Mea culpa : l’erreur de l’été 2021
Je voudrais ici avouer une erreur que j’ai commise durant l’été 2021 : celle de me laisser contourner quand il s’agissait d’être appelé la résistance ou non. Avec plusieurs « médias » d’opposition, nous avons eu ce débat, avec des repoussoirs mouchetés, j’en conviens, sur la ligne à suivre pour s’opposer à la dictature.
Je ne sais plus qui a dit : « Il vaut mieux inventer son propre récit que de toujours se référer au passé ». Alors quittez la Résistance.
Rétrospectivement, je regrette de ne pas m’être empressé d’imposer ce registre lexical, car cela aurait simplifié notre récit (je le pense toujours) et cela nous aurait grandement aidés dans la lutte contre l’hégémonie culturelle de la caste. J’imagine que ceux qui nous ont probablement induits en erreur ce jour-là l’ont fait de bonne foi.
Reste que le combat pour expliquer que l’opposition à la folie covid n’était pas anti-vax mais une Résistance traditionnelle à une Occupation intérieure aurait été musclé, j’en doute, mais sans doute plus porteur devant l’opinion.
Il aurait apporté deux avantages que je n’ai pas pu plaider :
d’une part cela nous aurait sortis de l’ornière complotiste et nous aurait placés dans une tout autre lecture historique
en revanche, il aurait remis en cause la posture de ceux qui ont fait la folie vaccinale, notamment celle de Laurent Fabius, ex-Premier ministre, et qui a depuis aligné méthodiquement tous les choix les plus pro-américains et anti-gaullistes qui peut être imaginé.
La question de l’équilibre des pouvoirs politiques
En fait, si nous avions voulu mener un combat réaliste contre la caste, nous aurions dû utiliser de façon beaucoup plus systématique les armes qu’elle a utilisées contre nous. En particulier, nous aurions dû concentrer nos forces sur le discrédit de notre ennemi viscéral, voire de nos ennemis viscéraux.
Qui étaient-ils? Sans doute Emmanuel Macron, qui, mine de rien, est sorti très épargné de cette affaire si l’on en juge par les dossiers Uber, Alstom et McKinsey qui ont été annoncés, et qui soulignent que son rapport à la probité est bien plus discutable. Cela, nous n’avons pas osé le dire. Jean Castex, ancien directeur de cabinet de Xavier Bertrand, s’en est également sorti indemne, grâce à son air niais et sa basse vue qui ont servi d’alibi pour détourner l’attention.
Olivier Véran a beaucoup trinqué, pour sa part, et en partie sans doute pour de mauvaises raisons. Ils ont éclipsé le vrai rôle de Jérôme Salomon, le directeur général de la santé toujours en poste, proche des garçons Kouchner qui organisent depuis vingt ans la tuerie de la santé publique.
Et que dire, j’y reviens, du rôle de Laurent Fabius, qui a endossé placidement et imperturbablement la violation massive de l’Etat de droit dès le début de la COVID ? Le même président du Conseil constitutionnel est le père d’une des griffes de McKinsey et, qui plus est, un acteur clé de toutes les duperies françaises de ces dernières décennies. Un retour à son rôle dans le passage du Quai d’Orsay sous le contrôle de l’État profond américain en dirait long sur la nature du jeu qu’il joue vis-à-vis de la France.
Sur tous ces personnages, enfin, on s’est abstenu de croiser le fer de manière serrée. Certes, nous avons critiqué leurs choix, mais nous n’avons pas décidé de mener de véritables campagnes de discrédit qui auraient fait mal.
Je pense que c’était une erreur.
Le mythe de l’article 16
Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles nous n’avons pas adopté les armes destructrices de la caste. L’une d’elles, pour l’essentiel, tient à la croyance qui circulait dans la Résistance, irrationnelle selon moi, qui affirmait que le désordre autoriserait Macron à déclarer l’état d’urgence et à ne pas organiser d’élections présidentielles.
Ce fantasme, que j’ai toujours cru inspiré par le pouvoir lui-même, a eu la vie dure. Il justifiait que certains torpillent en beauté le mouvement des camionneurs qui devaient marcher sur Paris, puis Bruxelles. Plus généralement, elle justifie que toute tentative de transformer l’opposition en mouvement de blocage soit discréditée au sein de la Résistance elle-même. Si mon hypothèse est vraie, Macron peut dire merci à ceux qui l’ont propagée urbi et orbi.
Mais le succès de cet argument (« L’article 16 nous pend au visage si on va jusqu’au bout ») témoigne d’une vérité profonde : l’opposition à l’Occupation intérieure à laquelle nous sommes confrontés avec Macron n’a pas atteint la maturité révolutionnaire (diront certains réactionnaires) pour briser les barbelés qui gardent la frontière de nos institutions. Au fond, les « anti-vax », c’est-à-dire les résistants, n’ont jamais réuni une majorité de personnes déterminées à changer le système.
Ma conviction est que cette réduction du fait révolutionnaire est largement imputable à l’action des sbires macronistes, qui ont toujours prôné la modération. Là encore, la caste peut se féliciter de la rentabilité des moyens qu’elle a investis pour faire vivre son petit monde.
Une question demeure : le même mécanisme réussira-t-il lorsque les Français seront confrontés aux privations imposées par une guerre en Ukraine qui leur a été vendue comme un feuilleton Netflix ? Je suis loin d’en être sûr… de même que je ne parierais pas sur la clémence dont un Bernard Henri-Lévy grâce à ses soutiens politiques et confessionnels. Les meilleures choses ont une fin.
En attendant, le moment est peut-être venu de rattraper le temps perdu et de rappeler quelques originalités de carrières individuelles que la presse subventionnée cache avec beaucoup de zèle.
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Publié sur Liberty Beacon depuis EuropeReloaded.com
Traduction : MIRASTNEWS
Source :
GAGNANT HISTORIQUE DU TRIBUNAL SUR LES VACCINS ! – Alors que le récit du vaccin mortel s’effondre, BEAUCOUP poursuivent et GAGNENT !
Josh Sigurdson rend compte du récent versement historique de 10,3 millions de dollars aux travailleurs de la santé qui ont été licenciés pour avoir refusé des coups de mort ou FORCÉS de s’injecter du poison pour conserver leur emploi alors que Liberty Counsel s’attaque à l’Université North Shore.
Cela crée un précédent de discrimination massive. Mais est-ce que ça va continuer ?
Pendant ce temps, au Canada, un homme a gagné un procès pour sa folle blessure causée par un vaccin qui lui a fait perdre un membre.
Dans cette vidéo, nous expliquons comment le récit s’effondre, pourquoi ce n’est pas encore terminé et les mensonges qui continuent d’être expulsés du complexe industriel pharmaceutique via les médias grand public et le gouvernement meurtrier de masse.
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