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Un banquier mondialiste a prédit une escroquerie et un génocide des inutiles

Un banquier mondialiste a prédit une escroquerie et un génocide des inutiles

Pour ceux qui doutent encore que la tyrannie frauduleuse, génocidaire et de style communiste de COVID-1984 ait été planifiée il y a longtemps par les cavaliers autoproclamés du cheval pâle, comme le dénouement contre nature de leur facilitation répréhensible des coups d’État bolcheviques de Big Pharma dans presque toutes les nations dans le monde devient d’autant plus évidente, préparez-vous à voir toutes les illusions restantes brisées.

Les déclarations suivantes, qui ont été faites en 1981 par le puissant banquier international et eugéniste sans vergogne, Jacques Attali, sont tirées des Entretiens avec Michel Salomon – Les visages du futur, édition Seghers, qui a été publié en France par Emi Lit quand Attali était un senior conseiller du président français, François Mitterrand :

« À l’avenir, il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. On va commencer par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et coûte cher à la société, puis les faibles et puis les inutiles qui ne font rien pour la société car il y en aura de plus en plus, et surtout les stupides.

Euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas. Nous ne pouvons bien sûr pas exécuter des gens ou établir des camps. Nous nous débarrasserons d’eux en leur faisant croire que c’est pour leur bien.

Une population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, est quelque chose de trop coûteux économiquement. Socialement, il vaut aussi mieux que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt que de se détériorer progressivement. Nous ne serons pas en mesure d’effectuer des tests d’intelligence sur des millions et des millions de personnes, vous pouvez l’imaginer !

On va trouver quelque chose ou le provoquer, une pandémie qui cible certaines personnes, une vraie crise économique ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les craintifs et les stupides vont le croire et demander à être soignés.

Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution.

La sélection des cons se fera donc toute seule : ils iront seuls à l’abattoir.

Les armes de l’hyperconflit

Vingt-cinq ans plus tard, en 2006, le best-seller d’Attali, Une brève histoire de l’avenir – Un regard courageux et controversé sur le 21e siècle, a été publié en France.

Il a ensuite été publié par Arcade Publishing aux États-Unis, avec une critique de l’homme de main mondialiste de longue date du cartel Rothschild, Henry Kissinger, sur la couverture, déclarant que le livre du banquier international était « brillant et provocateur ».

Comme si l’approbation éclatante d’un homme accusé de génocide sur trois continents ne suffisait pas à déclencher les sonnettes d’alarme qui sonnent pour crimes contre l’humanité, voici ce qu’Attali a écrit dans un chapitre du livre intitulé Les armes de l’hyperconflit :

« À toutes les époques, l’issue des guerres a été déterminée par la possession d’armes neuves et par le prix attaché par chaque belligérant à la vie de ses propres soldats. En leur temps, les archers de la bataille de Crécy, les chars de la Première Guerre mondiale et les armes atomiques de la Seconde Guerre mondiale ont décidé du sort des batailles.

A toutes les époques, de nouvelles armes sont apparues, à la fois produits et accoucheurs de technologies civiles : l’hélice est née avec le levier, le réarmement avec la mécanisation, les chars avec l’automobile. Inversement, c’est dans l’armée que le télégraphe, la radio, l’énergie, l’arme nucléaire et Internet sont nés aux côtés de bien d’autres innovations technologiques.

Dans les cinquante prochaines années, de nouvelles technologies seront développées par les armées avant d’être utilisées sur le marché civil. Pour les besoins de la défense ou de la police, les gouvernements financeront les recherches nécessaires au perfectionnement des technologies d’hypersurveillance et d’autosurveillance. Inversement, ces technologies auront alors des applications civiles.

En fait, ces futures armes seront essentiellement fondées sur le concept de surveillance. Les armées développeront à la fois des infrastructures numériques d’ubiquité nomade, des systèmes de surveillance des mouvements suspects, des moyens de protection des installations stratégiques et un réseau d’intelligence économique. Des robots (dissimulés en territoire ennemi) et des drones (robots volants) relayeront des données, détecteront des agents chimiques ou biologiques, et serviront d’éclaireurs devant les détachements d’infanterie confrontés à des zones minées ou à des angles morts. Les logiciels de simulation de bataille seront mis à jour en permanence au plus près des champs de bataille.

De plus, de nouvelles unités de combat seront intégrées avec des moyens de simulation, de surveillance et de frappe. De nouveaux réseaux et instruments d’ubiquité nomade permettront aux combattants de rester connectés et de simuler toutes sortes de situations. Les vêtements intelligents serviront à fabriquer de nouveaux uniformes ; de nouveaux matériaux permettront de concevoir de nouveaux boucliers. Les technologies de simulation tridimensionnelle aideront à préparer et à mener à bien les missions de combat, tandis que les robots fonctionneront comme des substituts aux vrais combattants.

Les systèmes électroniques (e-bombes) pourront détruire les réseaux de communication et laisser une force adverse aveugle et sourde.

Les marines joueront un nouveau rôle dans la lutte contre les traqueurs, dans la surveillance de l’émigration et dans la protection des détroits stratégiques. Les avions de combat ne seront plus aussi utiles qu’aujourd’hui et perdront leur influence sur la réflexion des états-majors et les budgets militaires.

De nouvelles armes dites conventionnelles seront d’autant plus nécessaires que les armes non conventionnelles (nucléaires et autres) seront de plus en plus diffusées.

[…] D’ici 2040 ou 2050, plus de quinze pays au total posséderont ouvertement des armes nucléaires et les moyens de les délivrer.

La pénurie de pétrole poussera également les pays les plus divers vers la production de centrales nucléaires civiles. Cela les conduira à utiliser comme combustible des déchets recyclés, appelés MOX, multipliant encore les risques de prolifération mais aussi de « disparition » des déchets (lors du transfert de ces matières radioactives). Ces déchets pourraient ensuite être utilisés pour fabriquer des armes radiologiques mêlant déchets nucléaires et explosifs conventionnels.

D’autres armes, chimiques, biologiques, bactériologiques, électroniques et nanotechnologiques, apparaîtront alors. Comme pour les nouvelles technologies civiles qu’ils préfigureront, les scientifiques s’attacheront à accroître leur puissance, leur miniaturisation et leur précision. Les armes chimiques seront capables de rechercher et de tuer des chefs sans être détectées ; les pandémies pourraient être prêtes à se déclencher à volonté ; des armes génétiques complexes pourraient un jour être dirigées spécifiquement contre certains groupes ethniques.

Des nanorobots aussi petits qu’un grain de poussière, connus sous le nom de gelée grise, pourraient effectuer des missions de surveillance furtives et attaquer les cellules des corps ennemis. Ensuite, une fois que les techniques de clonage d’animaux auront progressé, les animaux clonés pourraient bien remplir des missions, des bombes animales vivantes, des monstres sortis du cauchemar.

Ces armes ne seront pas développées uniquement dans les laboratoires militaires des pays puissants mais aussi par de grandes entreprises, des « entreprises de cirque », qui leur trouveront de nouveaux marchés. Comme toujours, l’armement restera au cœur de l’appareil industriel, et tant que le super-empire n’est pas là, les marchés publics seront essentiellement orientés vers le secteur de l’armement. Les grandes compagnies d’assurance et les sociétés mercenaires reprendront alors le flambeau.

La plupart de ces armes seront accessibles aux petites nations, aux non-états, aux corsaires, aux pirates, aux mercenaires, aux maquisards, aux mafias, aux terroristes et à tous les traqueurs. Dans un avenir pas lointain, par exemple, il sera possible de fabriquer une bombe électronique pour 400 $ à partir d’un condensateur, d’une bobine de fil de cuivre et d’un explosif. Les armes chimiques, radiologiques et biologiques seront ainsi accessibles à tous. Tuer de plus en plus de personnes avec des moyens rudimentaires deviendra une triste possibilité. Dans les villes et dans les transports en commun, l’entassement démultipliera l’efficacité des armes les plus primitives.

Enfin (et peut-être surtout), puisqu’aucune guerre ne peut être gagnée si les peuples qui la font ne la croient pas juste et nécessaire, et si la loyauté des citoyens et leur croyance en ses valeurs ne sont pas maintenues, les principales armes de l’avenir seront les instruments de propagande, communication et intimidation ».

Génocide déclenché

Étant donné que la rhétorique amorale époustouflante d’Attali fait écho à celle de tous les autres eugénistes au franc-parler au cours des 150 dernières années, les passages précédents ne peuvent être écartés comme conjecture ou théorie du complot.

Cependant, sur la base qu’il a prédit en 1981 qu’il y aurait une élimination génocidaire des plus de 60 ans, des faibles et des stupides, dont le catalyseur serait de trouver ou de fabriquer une pandémie virale, la déclaration suivante est d’autant plus évidente : « les pandémies pourraient être prêtes à se déclencher à volonté ».

Tout comme la dernière phrase citée, qui confirme que les principales armes de la guerre planifiée de longue date contre les peuples sont « les instruments de propagande, de communication et d’intimidation ». Les parallèles entre les prédictions d’Attali sur le déclenchement de tels génocides au 21e siècle et les événements de COVID-1984 sont effrayants.

Néanmoins, sans que la majorité du public ne croie que le gouvernement ment à propos d’un « virus » qui n’a jamais été isolé ou purifié, la censure des points de vue opposés et l’érection d’un État policier se seraient avérées impossibles.

Il s’ensuit naturellement que lorsque la majorité rejettera le récit frauduleux, les points de vue opposés, censurés ou non, deviendront la norme et l’État policier pourra alors être systématiquement déconstruit avec un non-respect totalitaire de tous les diktats tyranniques du gouvernement voyou et la poursuite pénale de tous ceux accusés de crimes contre l’humanité.

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    Un banquier mondialiste a prédit une escroquerie et un génocide de l’inutile

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Tap News

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